La presse a le dont de feindre de découvrir ce qui est du domaine public. Ainsi donc, les services d'État ont des informations sur les personnes publiques! Cela s'appelle des fiches et certains s'en étonnent. Voudrait-on nous faire croire, par exemple, que les élus de la République acceptent de rencontrer un journaliste pour un débat public sans rien savoir de lui, de ses opinions, de ses réseaux ? Que les Renseignements Généraux tels qu'ils étaient officiellement il y a quelques années aient disparu n'interdit en rien cette recherche d'informations totalement justifiée. Quiconque doit entretenir un échange professionnel s'informe de son contradicteur. Les partis politiques eux-mêmes ne procèdent pas autrement et je sais que j'ai été enquêté jusque dans ma vie privée de par mes fonctions associatives, par les services d'état et par certains partis (de bonnes âmes me l'on fait savoir). N'ayant rien à me rapprocher, je n'y trouve aucun mal. S'en inquiéter démontre que l'on a des choses ou des actes à cacher.
La presse a le dont de feindre de découvrir ce qui est du domaine public. Ainsi donc, les services d'État ont des informations sur les personnes publiques! Cela s'appelle des fiches et certains s'en étonnent. Voudrait-on nous faire croire, par exemple, que les élus de la République acceptent de rencontrer un journaliste pour un débat public sans rien savoir de lui, de ses opinions, de ses réseaux ? Que les Renseignements Généraux tels qu'ils étaient officiellement il y a quelques années aient disparu n'interdit en rien cette recherche d'informations totalement justifiée. Quiconque doit entretenir un échange professionnel s'informe de son contradicteur. Les partis politiques eux-mêmes ne procèdent pas autrement et je sais que j'ai été enquêté jusque dans ma vie privée de par mes fonctions associatives, par les services d'état et par certains partis (de bonnes âmes me l'on fait savoir). N'ayant rien à me rapprocher, je n'y trouve aucun mal. S'en inquiéter démontre que l'on a des choses ou des actes à cacher.