L’orthographe passe au second plan. Certes, et je le rappelle, la manière dont les gens et plus particulièrement les jeunes appréhendent l’écrit a bien changé : SMS, tweets, qui induit une abréviation, une écriture phonétique, le fait d’être dans le flux. L’anglais est omniprésent, celui du marketing, des médias, de la publicité.
Peut-on mettre en cause seuls les SMS, tweets, ces échanges épistolaires, les jeux vidéo, émissions télévisées de téléréalité aux dialogues minimalistes que dévorent des millions de téléspectateurs au lieu d’être passionnés par les livres ?
Ces petits bijoux, tablettes, iPod, Ipad que nous avons entre les mains nous volent toute notre attention, notre temps disponible. Sont-ils les seuls responsables ?
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