Breaking Bad // Saison 4. Episode 13. Face Off.
SEASON FINALE
Intense. Il faut que je respire, ça va être difficile, mais Breaking Bad c'est tellement bon. Je suis encore sous le choc d'un épisode. Vous avez vu ? Vous avez vu ? Non mais cet épisode c'est du
plaisir en bar du début à la fin. Je sais pas ce qu'ils ont mis dans la série, mais je veux aussi avoir de la drogue comme ça moi. Ce genre de chose c'est limite on y touche qu'une fois dans la
vie. Je suis sénile, car j'aurais du commencé cette critique par… j'ai vu deux fois l'épisode dans la journée, et plusieurs fois quelques passages encore. Je suis cinglé je crois. Mais c'était
tellement bon. Je me répète je sais, mais cette l'adrénaline qui fait ça, c'est une réaction supratonique. Normale quoi. Toute mon hyperactivité ressort d'un coup, en mode "pire que les jumeaux
Scavo". C'est vous dire le degré. Tout le monde pourrait dire ce qu'il veut sur cette saison de Breaking Bad, tout, même les pires choses que moi ça ne me gâcherai pas mon plaisir, bien au
contraire. Je n'ai jamais été aussi bien devant une série je crois, ou alors qu'à de très rare occasion. Non mais là, c'est limite j'ai moi aussi la face post-bombe de Gus Fring.
Sérieusement, il doit être aussi cinglé que moi là. J'ai presque joui devant son épisode là, alors il a intérêt à ce qu'on soit récompenser par des épisodes que comme ça dans la cinquième et
dernière saison de la série que l'on attends dès l'été prochain. Mais c'est aussi grâce à la prestation de Bryan Cranston dans un premier temps. Son envie de mettre la main Gus, cette obsession
qui le ronge et qui va nous livrer le grand twist de la fin de la saison : en fait le fils de la petite amie de Jesse n'a pas été empoisonné par le poison qu'avait fabriqué Walt (ce qui permet
d'un côté de l'innocenté) mais c'est bien lui qu'il l'a empoisonné avec une fleure commune. Ah, j'ai encore joui avec les dernières secondes de cet épisode. A dire vrai, je crois que c'est la
série la plus tarée de toutes les séries, la meilleure de toutes les séries. Je pourrais pardonner certaines dérives de la saison, dont le 4.02 que j'avais trouvé assez mauvais. Même si la
prestation de Aaron Paul est excellente, il était bien plus perturbant dans cet épisode.
Je me demande de quoi pourra bien être faite la prochaine saison maintenant : d'une potentielle rédemption ou alors Walter, toujours attiré par le pouvoir, va mettre la main sur le business et
prendre la place laissée vacante par Gus. Telle est la question, mais forcément la dernière saison de la série devra d'une part conduire à sa mort (et par son cancer car la boucle serait bouclée)
mais aussi permettre à sa famille de vivre sans besoin d'argent. Je n'ai même pas fini de digéré cet épisode que je m'en vais déjà en croisade pour découvrir de nouvelles contrées, en attendant
l'été prochain afin de voir ce que Vince Gilligan a bien pu nous produire d'encore plus WTF.
Note : 10/10. En bref, FUCKING GENIOUS BRO.
P.S : Si je pouvais mettre 'infini'/10, je pourrais. Ce que l'on ressent au visionnage de cet épisode est... indescriptible.