Après les fermetures des usines Sirama et Pêcherie de Nosy-Be, l'île aux parfums ne vit que sur le tourisme. L'Office régional du tourisme de l'île aux parfums croise les doigts en un avenir économique de l'île très touristique.
Après les fermetures des usines Sirama et Pêcherie de Nosy-Be, l'île aux parfums ne vit que sur le tourisme. L'Office régional du tourisme de l'île aux parfums croise les doigts en un avenir économique de l'île très touristique.