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un mot n’est jamais de trop

Publié le 09 octobre 2011 par Rodinscot

Quand un enfant de deux ans est mû par la musique, il dit : « je danse ». Il est castrateapprendre . Mais … trop tard…le mal est faitur de lui dire que non…qu’il doit d’abord Alors, adulte, on doit se reprendre en main, retraverser les couches successives des renoncements, pour percevoir à nouveau la folle douceur du vivant, du mouvement qui nous traverse avec sa palette de nuances extensible à l’infini

Amateurs, ou dit autrement : experts de la vie (la notre et pas celle qu’on nous dit d’adopter), tentons le mouvement dansé…le mouvement qui donne sens, qui est sens.

Dire des mots, des phrases qui rassurent serait bienvenu ?

Aujourd’hui je ne crois pas….mais au- delà des mots qui ébranlent, on cherche des mots qui nous lèvent, qui nous mettent debout pour essayer encore. Essayer quoi ? Ce qui nous fait « aller » comme l’enfant qui apprend à marcher pour partir à l’aventure…Nous n’avons pas renoncé à nous relever des dizaines de fois alors …alors recommençons.

Et l’autre, les autres dans tout cela?

Le chemin de la singularité nous rapproche, car le chemin est alors le point de ralliement et non pas le résultat….les sentiers parcourus si divers soient ils nous amènent à échanger, nous côtoyer, nous confronter, nous comprendre, nous rejoindre, nous aimer

Dansons avec comme bagage l’expertise de notre vie, jonchée de ce qui fait ce que nous sommes, ce qu’est notre corps.

Comme un déshabillage la danse laissera jaillir l’essentiel.



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