Hier, après une journée épuisante à courir de tous les côtés, je revenais d'un centre commercial accompagné de mon dernier fils tout content de son après midi en ma compagnie. Je venais de lui acheter un jeu vidéo et il m'avait aidé à en acheter un autre pour son grand frère qu'il adorait et qui était en compétition de rugby toute l'après midi. La pluie était fine et glaciale, le ciel s'assombrissait sérieusement. L'été qui avait fait des heures supplémentaires au delà de toute espérance avait plié bagages pour de bon. La circulation est fréquemment intense le samedi en fin d'après midi et quand la pluie s'invite, ça finit systématiquement par des accrochages et ce fut le cas encore hier.
Ma parfaite connaissance du réseau routier que j'empruntais quotidiennement me permit de trouver le bon chemin pour ne pas me retrouver bloquer par des bouchons interminables. Sur le trajet même si mon enant n'aimait pas trop cela, je me mis à zapper sur les chaînes de radio et pendant une poignée de minutes, mon oreille accrocha une merveilleuse histoire. En l'écoutant, je ne pouvais m'empêcher à une personne. Cette personne n'est pas dans mon entourage direct mais peu importante, je la côtoie depuis assez longtemps grâce à la magie du NET qui a transformé très rapidement la planète en un grand village où il est plus facile de discuter et d'échanger des sentiments qu'avec son voisin de pallier.
Et c'est clair, à ce moment, j'aurais voulu qu'elle écoute cet homme en espérant que ça lui donnerait la force de poursuivre son combat contre la maladie. Je suis persuadé qu'en chacun de nous existe une énergie capable de nous aider à soulever des montagnes mais que cette énergie a besoin de catalyseur qui peut être l'amour , la solidarité, d'autres forces extérieures positives qui viendraient stimuler cette fabuleuse puissance qui est en nous.
Au Fait qu'ai je donc entendu à la radio.La suite , tout à l'heure.