En tant que président de l'Association pour la protection et l'amélioration de l'environnement, j'ai été destinataire du dossier soumis au débat public. La première réunion d'information a eu lieu à Rouen devant 1500 personnes toutes très intéressées à la création de cette future ligne à grande vitesse appelée à rapprocher Caen, Le Havre et Rouen de la capitale.
Dans la synthèse jointe au dossier, on comprend mieux les raisons économiques et humaines qui président au choix futur. La ligne à grande vitesse (250 Km/h en Normandie, 200 Km/h en Ile de France) permettra de décharger les lignes actuelles (saturées) de créer de nouvelles liaisons et de faciliter le trafic de fret sur les lignes actuelles notamment entre Paris et Mantes.
On remarquera que les choix des élus Eurois privilégient Evreux-Caen et Evreux-Rouen-Le Havre par Louviers et Val-de-Reuil. Il semble évidemment impossible d'utiliser la voie actuelle de la vallée de l'Iton dont la réouverture éventuelle a suscité des polémiques nombreuses lors des dernières cantonales et conduit les élus d'Acquigny, par exemple, à choisir le site de construction de la nouvelle école.
Sans préciser plus de détails (voir photo) indiquons tout de même que le choix actuel des élus eurois est aussi le moins coûteux. Avec 6,3 milliards d'euros il s'agit de la solution la moins chère. Enfin, pour ceux et celles qui voient loin, cette ligne à grande vitesse devrait être opérationnelle en 2025 ! C'est demain.
Je communiquerai en temps utile les lieux et dates des réunions organisées dans notre immédiate région.