J’en parcouru quelques chapitres guettant tout de même de temps à autre les forêts de pins défiler devant moi et puis lassé un moment de voir ces pages restantes se tourner seules à cause de rafales de vent s’engouffrant dans le wagon ; je posai mon Reader's digest sur le sol et me contentai juste de lire et commenter le panorama qui se succédait devant moi. ( j'en tournai presque de l'oeil )
Les vaches présentes ( et trop près de moi ) ne se rendirent compte que ce présent voyage fut également leur dernier. Je laissai donc la porte ouverte et leur proposai à voix haute :
- Enfuyez-vous ! La porte est grande ouverte, mesdames ! ! Personne ne répondit…
Personnellement, je préfé