Mante à l’opéra.
Tu vois Line, moi aussi je peux faire meneuse de revue à Las Vagas....
Mante à l’opéra. On croirait une meneuse de revue sur son grand escalier, aérienne, déhanchée, levant très haut les bras pour le salut final. Un incroyable cliché que le photographe, Hasan Baglar, n’en revient pas lui-même d’avoir eu la chance de saisir. Il ne traquait cette
Iris oratoria (l’une des 200 espèces de mantes) que dans l’espoir de la voir déchiqueter l’une de ses proies habituelles (criquets ou papillons) lorsqu’elle s’est dressée sur ses pattes postérieures, en lui souriant de toutes ses mandibules, dans une posture évoquant irrésistiblement un «boogie-woogie avant la prière du soir». Ce qui, pour une mante, fût-elle non religieuse, n’est après tout pas si étonnant que ça ! " />
Mante à l’opéra. On croirait une meneuse de revue sur son grand escalier, aérienne, déhanchée, levant très haut les bras pour le salut final. Un incroyable cliché que le photographe, Hasan Baglar, n’en revient pas lui-même d’avoir eu la chance de saisir. Il ne traquait cette
Iris oratoria (l’une des 200 espèces de mantes) que dans l’espoir de la voir déchiqueter l’une de ses proies habituelles (criquets ou papillons) lorsqu’elle s’est dressée sur ses pattes postérieures, en lui souriant de toutes ses mandibules, dans une posture évoquant irrésistiblement un «boogie-woogie avant la prière du soir». Ce qui, pour une mante, fût-elle non religieuse, n’est après tout pas si étonnant que ça ! " title="Un bric à brac rigolo et peut-être moins....." />
Mante à l’opéra. On croirait une meneuse de revue sur son grand escalier, aérienne, déhanchée, levant très haut les bras pour le salut final. Un incroyable cliché que le photographe, Hasan Baglar, n’en revient pas lui-même d’avoir eu la chance de saisir. Il ne traquait cette
Iris oratoria (l’une des 200 espèces de mantes) que dans l’espoir de la voir déchiqueter l’une de ses proies habituelles (criquets ou papillons) lorsqu’elle s’est dressée sur ses pattes postérieures, en lui souriant de toutes ses mandibules, dans une posture évoquant irrésistiblement un «boogie-woogie avant la prière du soir». Ce qui, pour une mante, fût-elle non religieuse, n’est après tout pas si étonnant que ça ! " border="0" />
On croirait une meneuse de revue sur son grand escalier, aérienne, déhanchée, levant très haut les bras pour le salut final. Un incroyable cliché que le photographe,
Hasan Baglar, n’en revient pas lui-même d’avoir eu la chance de saisir. Il ne traquait cette
Iris oratoria (l’une des 200 espèces de mantes) que dans l’espoir de la voir déchiqueter
l’une de ses proies habituelles (criquets ou papillons) lorsqu’elle s’est dressée sur ses pattes postérieures, en lui souriant de toutes ses mandibules, dans une posture évoquant
irrésistiblement un «boogie-woogie avant la prière du soir». Ce qui, pour une mante, fût-elle non religieuse, n’est après tout pas si étonnant que ça !
(Baglar/Caters
News/SIPA)
On achève bien les rickshaws.
Comme quoi l'absurdité des chefs d'états est vraiment
un état de fait mondial!
Pas un seul pour relever le
lot....
Bien minable tout ça!
On achève bien les rickshaws. Entassé sur un terrain vague de la banlieue de Dacca, ce troupeau de rickshaws interpelle. On comprend mal que leurs propriétaires aient pu vouloir s’en débarrasser dans un pays aussi pauvre que le Bangladesh, où ces «bicyclettes à trois roues»,capables de tracter trois passagers pour deux dollars la course, représentent une source vitale de revenus. Mais il ne s’agit pas d’une casse : ces pousse-pousse, pilotés à 80% par des conducteurs sans permis, ont été saisis par la police afin de désembouteiller les rues de la capitale. Il s’agit donc bien d’un cimetière : derrière chacune de ces roues voilées gît une famille qui ne mange plus à sa faim. " />
On achève bien les rickshaws. Entassé sur un terrain vague de la banlieue de Dacca, ce troupeau de rickshaws interpelle. On comprend mal que leurs propriétaires aient pu vouloir s’en débarrasser dans un pays aussi pauvre que le Bangladesh, où ces «bicyclettes à trois roues»,capables de tracter trois passagers pour deux dollars la course, représentent une source vitale de revenus. Mais il ne s’agit pas d’une casse : ces pousse-pousse, pilotés à 80% par des conducteurs sans permis, ont été saisis par la police afin de désembouteiller les rues de la capitale. Il s’agit donc bien d’un cimetière : derrière chacune de ces roues voilées gît une famille qui ne mange plus à sa faim. " title="Un bric à brac rigolo et peut-être moins....." />
On achève bien les rickshaws. Entassé sur un terrain vague de la banlieue de Dacca, ce troupeau de rickshaws interpelle. On comprend mal que leurs propriétaires aient pu vouloir s’en débarrasser dans un pays aussi pauvre que le Bangladesh, où ces «bicyclettes à trois roues»,capables de tracter trois passagers pour deux dollars la course, représentent une source vitale de revenus. Mais il ne s’agit pas d’une casse : ces pousse-pousse, pilotés à 80% par des conducteurs sans permis, ont été saisis par la police afin de désembouteiller les rues de la capitale. Il s’agit donc bien d’un cimetière : derrière chacune de ces roues voilées gît une famille qui ne mange plus à sa faim. " border="0" />
Entassé sur un terrain vague de la banlieue de Dacca, ce troupeau de rickshaws interpelle. On comprend mal que leurs propriétaires aient pu vouloir s’en débarrasser dans un pays aussi
pauvre que le Bangladesh, où ces «bicyclettes à trois roues»,capables de tracter trois passagers pour deux dollars la course, représentent une source vitale de revenus. Mais il ne s’agit
pas d’une casse : ces pousse-pousse, pilotés à 80% par des conducteurs sans permis, ont été saisis par la police afin de désembouteiller les rues de la capitale. Il s’agit donc bien d’un
cimetière : derrière chacune de ces roues voilées gît une famille qui ne mange plus à sa faim.
(Andrew Biraj/REUTERS)
Célébration.
La grâce malgré tant de souffrances ...
Célébration. Ils étaient des centaines mercredi à être descendus dans les rues de Netrokona pour assister à la fête la plus unanimement célébrée au Bangladesh. Au total, ce sont quinze jours de festivités qui sont organisés en l'honneur de Durga, la déesse de la puissance, de la prospérité, de l'amour maternel et aussi de la destruction du mal. Tous dans ce pays fêtent Dashain avec enthousiasme car c'est l'occasion de retrouvailles collectives et familiales. Mais, ces derniers temps, cette fête aimée a été critiquée pour toutes sortes de raisons dont la principale est la cruauté envers les animaux. " />
Célébration. Ils étaient des centaines mercredi à être descendus dans les rues de Netrokona pour assister à la fête la plus unanimement célébrée au Bangladesh. Au total, ce sont quinze jours de festivités qui sont organisés en l'honneur de Durga, la déesse de la puissance, de la prospérité, de l'amour maternel et aussi de la destruction du mal. Tous dans ce pays fêtent Dashain avec enthousiasme car c'est l'occasion de retrouvailles collectives et familiales. Mais, ces derniers temps, cette fête aimée a été critiquée pour toutes sortes de raisons dont la principale est la cruauté envers les animaux. " title="Un bric à brac rigolo et peut-être moins....." />
Célébration. Ils étaient des centaines mercredi à être descendus dans les rues de Netrokona pour assister à la fête la plus unanimement célébrée au Bangladesh. Au total, ce sont quinze jours de festivités qui sont organisés en l'honneur de Durga, la déesse de la puissance, de la prospérité, de l'amour maternel et aussi de la destruction du mal. Tous dans ce pays fêtent Dashain avec enthousiasme car c'est l'occasion de retrouvailles collectives et familiales. Mais, ces derniers temps, cette fête aimée a été critiquée pour toutes sortes de raisons dont la principale est la cruauté envers les animaux. " border="0" />
Ils étaient des centaines mercredi à être descendus dans les rues de Netrokona pour assister à la fête la plus unanimement célébrée au Bangladesh. Au total, ce sont quinze jours de
festivités qui sont organisés en l'honneur de Durga, la déesse de la puissance, de la prospérité, de l'amour maternel et aussi de la destruction du mal. Tous dans ce pays fêtent Dashain
avec enthousiasme car c'est l'occasion de retrouvailles collectives et familiales. Mais, ces derniers temps, cette fête aimée a été critiquée pour toutes sortes de raisons dont la
principale est la cruauté envers les animaux.
(Andrew Biraj/REUTERS)
Haie d’honneur.
Avant de sauter la Haie, finition aux ciseaux....
Perfectionniste va!
Haie d’honneur. Ce jardinier pas comme les autres a de quoi s’occuper pour un peu plus de deux mois... Voire davantage s’il veut arriver à tailler dans les règles de l’art topiaire l’une des plus grandes haies du monde. Un mur végétal de plus d’un kilomètre et demi planté il y a environ 160ans à Montacute House, près de Yeovil, dans le Somerset... En Angleterre bien sûr ! D’une incroyable épaisseur, cette haie formée d’ifs communs enchevêtrés entoure une splendide demeure élisabéthaine. Elle est taillée au moins une fois par an de façon solennelle. Classée au patrimoine historique anglais, elle doit sa forme un peu moutonneuse à une chute de neige record tombée sur le comté en 1947. " />
Haie d’honneur. Ce jardinier pas comme les autres a de quoi s’occuper pour un peu plus de deux mois... Voire davantage s’il veut arriver à tailler dans les règles de l’art topiaire l’une des plus grandes haies du monde. Un mur végétal de plus d’un kilomètre et demi planté il y a environ 160ans à Montacute House, près de Yeovil, dans le Somerset... En Angleterre bien sûr ! D’une incroyable épaisseur, cette haie formée d’ifs communs enchevêtrés entoure une splendide demeure élisabéthaine. Elle est taillée au moins une fois par an de façon solennelle. Classée au patrimoine historique anglais, elle doit sa forme un peu moutonneuse à une chute de neige record tombée sur le comté en 1947. " title="Un bric à brac rigolo et peut-être moins....." />
Haie d’honneur. Ce jardinier pas comme les autres a de quoi s’occuper pour un peu plus de deux mois... Voire davantage s’il veut arriver à tailler dans les règles de l’art topiaire l’une des plus grandes haies du monde. Un mur végétal de plus d’un kilomètre et demi planté il y a environ 160ans à Montacute House, près de Yeovil, dans le Somerset... En Angleterre bien sûr ! D’une incroyable épaisseur, cette haie formée d’ifs communs enchevêtrés entoure une splendide demeure élisabéthaine. Elle est taillée au moins une fois par an de façon solennelle. Classée au patrimoine historique anglais, elle doit sa forme un peu moutonneuse à une chute de neige record tombée sur le comté en 1947. " border="0" />
Ce jardinier pas comme les autres a de quoi s’occuper pour un peu plus de deux mois... Voire davantage s’il veut arriver à tailler dans les règles de l’art topiaire l’une des plus
grandes haies du monde. Un mur végétal de plus d’un kilomètre et demi planté il y a environ 160ans à Montacute House, près de Yeovil, dans le Somerset... En Angleterre bien sûr ! D’une
incroyable épaisseur, cette haie formée d’ifs communs enchevêtrés entoure une splendide demeure élisabéthaine. Elle est taillée au moins une fois par an de façon solennelle. Classée au
patrimoine historique anglais, elle doit sa forme un peu moutonneuse à une chute de neige record tombée sur le comté en 1947.
(Phil Yeomans/BNPS/Visual Press
Agency)
Et hop.
Chacun saute ce qu'il veut,
certains préfèrent les belles cylindrées
à petit chassis....
Et hop. On ne peut pas parler de Mini saut…! Le champion d'Angleterre du saut en longueur, J.J.Jegede, s'est récemment fait remarquer en survolant trois modèles de la marque britannique Mini. Ces derniers sont des séries spéciales London 2012, en référence aux prochains Jeux Olympiques qui se dérouleront à partir du mois de juillet prochain, dans la capitale anglaise. Notre homme a donc sauté par-dessus un trio de voitures, dans le parc de Potter's Field à Londres. Positionnée l'une à côté de l'autre, les véhicules mesuraient plus de 6 mètres de long. Une formalité pour l'athlète dont le record personnel se situe à 8,04 mètres. " />
Et hop. On ne peut pas parler de Mini saut…! Le champion d'Angleterre du saut en longueur, J.J.Jegede, s'est récemment fait remarquer en survolant trois modèles de la marque britannique Mini. Ces derniers sont des séries spéciales London 2012, en référence aux prochains Jeux Olympiques qui se dérouleront à partir du mois de juillet prochain, dans la capitale anglaise. Notre homme a donc sauté par-dessus un trio de voitures, dans le parc de Potter's Field à Londres. Positionnée l'une à côté de l'autre, les véhicules mesuraient plus de 6 mètres de long. Une formalité pour l'athlète dont le record personnel se situe à 8,04 mètres. " title="Un bric à brac rigolo et peut-être moins....." />
Et hop. On ne peut pas parler de Mini saut…! Le champion d'Angleterre du saut en longueur, J.J.Jegede, s'est récemment fait remarquer en survolant trois modèles de la marque britannique Mini. Ces derniers sont des séries spéciales London 2012, en référence aux prochains Jeux Olympiques qui se dérouleront à partir du mois de juillet prochain, dans la capitale anglaise. Notre homme a donc sauté par-dessus un trio de voitures, dans le parc de Potter's Field à Londres. Positionnée l'une à côté de l'autre, les véhicules mesuraient plus de 6 mètres de long. Une formalité pour l'athlète dont le record personnel se situe à 8,04 mètres. " border="0" />
On ne peut pas parler de Mini saut…! Le champion d'Angleterre du saut en longueur, J.J.Jegede, s'est récemment fait remarquer en survolant trois modèles de la marque britannique
Mini. Ces derniers sont des séries spéciales London 2012, en référence aux prochains Jeux Olympiques qui se dérouleront à partir du mois de juillet prochain, dans la capitale
anglaise. Notre homme a donc sauté par-dessus un trio de voitures, dans le parc de Potter's Field à Londres. Positionnée l'une à côté de l'autre, les véhicules mesuraient plus de 6
mètres de long. Une formalité pour l'athlète dont le record personnel se situe à 8,04 mètres.
(Julian Finney/AFP)
Eclairs au dessus du grand Canyon
Ce soir nous auront une pluie d'étoiles dans le
ciel, la beauté céleste à en rester:
bouche bée....