Les marchés étant sensibles à la peur, et à la spéculation, les courbes d’offre et de demande d’emprunts nationaux ont plusieurs points de rencontre.
Les banques centrales n’étant pas soumises à la peur ou à la spéculation peuvent aider à maintenir le taux des dits emprunts dans le domaine du raisonnable. (The illustrated euro crisis: Multiple equilibria | The Economist)
Le laisser-faire atteint rapidement ses limites ?