Un américain entraîne et envoie pour l'Irak des recrues, et tout ça dans un entrepôt-bunker ultra-sécurisé. Farik veut mettre la main sur l'entrepôt et quatre d'entre eux entament l'entraînement de l'américain. Cela peut sembler étrange a priori, tous étant des jihadistes, pourquoi tant de suspicion et de mensonges ? On a les réponses lorsque Farik pénètre à son tour dans le repère et se confronte à l'américain. Les deux se connaissent de la guerre en Bosnie. Leurs vues s'opposent car l'américain condamne le meurtre de civils innocents : il poursuit son Jihad contre les armées (US...), non des civils, et donc refuse les attentats contre des innocents, notamment sur le sol américain comme le projette Farik. L'américain tente de déclencher ses explosifs pour tout détruite, mais Ilja le tue avant. Le serbe, le plus touché par un homme dont il se sentait proche, réclame pour lui de véritables funérailles...
A la fin, Farik et les autres prient dans l'entrepôt. Et Ray et le FBI sont sur les nerfs dehors : en effet, impossible de capter ce qu'il se dit à l'intérieur de l'entrepôt. La série entame un nouveau tournant, ce n'est plus la page du plan de l'anthrax est tournée (plan A) après le fiasco de l'épisode précédent et on passe au plan B. Une nouvelle cible.
Sinon, Tommy (l'autre américain du groupe) confirme ses déséquilibres et ses excès de violence en racontant ses expériences dans l'armée US. Même ses compagnons ne lui font pas confiance et seraient plutôt prêt à ne pas lui donner une arme entre les mains Farik teste la capacité de diffusion dans un stade de baseball, avec des une quinzaine de mômes juifs qu'il amène à un match et leur fait faire des bulles de savon.
Bilan : Un épisode moins intense que le précédent, mais qui poursuit une certaine oeuvre pédagogique. Après nous avoir montré les dissensions au sein de l'Islam, la série s'intéresse aux différences de vues au sein même des combattants du Jihad. Elle poursuit donc sa complexification en nous dépeignant une situation tout en nuances.
Et la petite référence marrante de l'épisode (c'est un truc que j'aime bien avec cette série, à chaque épisode, je peux conclure la review par une anecdote ) --> un chien nommé De Gaulle (trouvé par Christian) ^_^
Non, mais... Le Général se retournerait dans sa tombe Mais quelle idée, j'aurai jamais pensé appelé mon chat Chirac ou Bush. lol.