Bien sûr que le personnage en impose. La marque à la pomme a révolutionné l’informatique. Mais je garde à l’esprit l’édition collector publiée à la mort de Bashung. Et je ne peux m’empêcher de comparer ce qui ne peut pas l’être.
Ou alors suis-je vieille France... Du style à considérer que seuls les artistes et autres poètes sont dignes de l’emporter au paradis. C’est vrai je l’avoue. Je ne reconnais à Steve Jobs qu’un talent des affaires quand j’admire chez l’homme sa propension a créer, conjuguer, dessiner, écrire, modeler, composer. Bref, toutes ces arts profondément humains qui nous aident à mieux vivre, parfois même à survivre dans un monde où, justement, on en vient à se réfugier derrière un écran pour ne plus affronter l’autre.
M’enfin, vous savez ce que j’en pense. Ou du moins ce que j’écris derrière mon Mac. Sans qui, n’ayons pas peur des mots, je ne serais rien.
Fanny Lesguillons