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Rira bien qui rira le dernier… Car au lendemain d’une certain jour de mai 2012, je crains fort que d’aucuns ne se retrouvent avec une sacrée gueule de bois. Il me semble qu’ils sous-estiment un peu trop le degré de ressentiment et de colère d’une catégorie non négligeable (mais tant négligée…) de la population qui paie les pots cassés d’une crise qui n’est pas la leur… et se trouvent floués par les partis politiques traditionnels qui les prennent pour des cons.
Et depuis 2002 au moins, nous savons bien que les sondages ne font pas les élections… Que Mr Moscovici se méfie donc des lendemains qui déchantent.