Pour celles qui n’avaient pas encore compris l’adage « Il faut souffrir pour être belle », en Thaïlande, la tendance est au « body slapping »!
![Image 2 Le « body slapping », prête à souffrir pour être belle ?](http://media.paperblog.fr/i/492/4928680/body-slapping-prete-souffrir-etre-belle-L-CFJ8gg.png)
Présentée comme étant naturelle et peu coûteuse, cette pratique peut être effectuée de la tête aux pieds. On distingue ainsi le « face-slapping » pour le visage, du « buttock-slapping » qui désigne le traitement réservé aux fessiers, sans oublier le « breast-slapping » pour l’augmentation mammaire à l’ancienne.
Le principe est simple. La cliente « se fait masser » – pour reprendre l’expression du reportage – à coup de gifles dans le but de restructurer les parties du corps qu’elle souhaite modeler. La séance est rythmée par une musique entraînante, visant à dynamiser et harmoniser la gestuelle.
Réalisée par le Bangkok Post, la vidéo qui suit met en scène une cliente – visiblement satisfaite – montrant un avant/après de son visage après quatre « traitements » de « face-slapping ». Aucune précision n’est donnée quant aux heures passées à se faire « masser » mais il est clair que les contours de son visage sont clairement modifiés.
![Image 1 Le « body slapping », prête à souffrir pour être belle ?](http://media.paperblog.fr/i/492/4928680/body-slapping-prete-souffrir-etre-belle-L-x5_BtD.png)
Si la jeune thaïlandaise avoue avoir eu mal après le traitement, elle se montre rassurante en affirmant que la douleur était « gérable».
Aussi alléchant que puisse être ce modelage, les effets s’avèrent être de courte durée. Un détail qui oblige les clientes à avoir régulièrement recourir à cette pratique. Pour leur rendre service, la doyenne a décidé de transmettre ce savoir-faire ancestral en leur donnant des cours moyennant rémunération.
Bien sûr, l’histoire ne nous dit pas s’il y a, à long terme, des effets secondaires, ni même la fréquence à laquelle ces jeunes filles vont devoir souffrir pour être temporairement « belles »…