En 1938, dans un monde à la veille de la Seconde Guerre m mondiale, les Nazis se lancent en quête du Saint Graal. Face à eux, le docteur Henry Jones, qui poursuit la quête de sa vie à la recherche de cet objet légendaire ; Quand son père disparaît, Indiana Jones se lance sur ses tracs pour le retrouver.
Indiana Jones and the Last Crusade (1989 ; 2h07) film américain réalisé par Steven Spielberg avec Harrison Ford, Sean Connery, Denholm Elliott…
Indiana Jones ou « comment faire des films qui restent à la postérité malgré un scénario qui tient
Bref, revenons à nos chapeaux et à nos fouets. George Lucas et Steven Spielberg nous gâtent. Le scénario est riche, malgré une trame hyper simpliste. En effet, cet opus est l’occasion d’en apprendre un peu plus sur l’adolescence d’Indiana et, par déductions, sur son enfance et sur ses relations avec son père. Ou plutôt devrait-on dire de ses « non-relations ». Et, manifestement, même trente ans plus tard ou presque, la communication a du mal à se faire entre les deux hommes à la fois si différents et possédant à la fois de nombreux points communs. C’est aussi l’occasion d’apprendre d’où vient le sobriquet d’Indiana Jones car, oui, ce n’est pas son vrai nom. Quid des grands méchants de cette histoire ? Indie retrouve de vieilles connaissances et adeptes du IIIème Reich. Cette fois, alors que l’ambiance est bouillante et la Seconde Guerre Mondiale imminente, une délégation nazi cherche à mettre la main sur le Graal, supposé conférer la vie éternelle. Ces derniers en prennent pour leur grade, et sont régulièrement tournés en dérision lors de scènes devenues cultes.
Bref, on a là un film facile et efficace, aux ficelles parfois visibles mais qui fonctionnent diablement bien. Le film idéal pour ne pas se prendre la tête, rigoler de temps en temps, et profiter quand même des bonnes idées de Spielberg et Lucas (au scénario).
Note :
Les Murmures.