Faut-il croire à l’endogamie chez les stars? En d’autres termes, une actrice pourrait-elle vivre durablement avec un anonyme employé de banque ou médecin généraliste?
Stéphane Bern | 04.10.2011 | 00:00
Faut-il croire à l’endogamie chez les stars? En d’autres termes, une actrice pourrait-elle vivre durablement avec un anonyme employé de banque ou médecin généraliste? Force est de constater que l’adage «qui se ressemble s’assemble» se vérifie souvent et que les people préfèrent se marier entre eux. Pour preuve, l’actrice britannique Elizabeth Hurley – qui a vécu pendant treize ans une passion torride avec Hugh Grant, fait un enfant, Damian, avec Steve Bing, avant de se marier à l’homme d’affaires indien richissime Arun Nayar, dont elle vient de divorcer – semble vouloir officialiser sa relation avec l’ancien joueur de cricket australien, Shane Warne. Ce dernier, métamorphosé sur les photos autant par l’amour que par la magie secrète et inavouable du bistouri d’un chirurgien esthétique, a fait sa demande en mariage le week-end dernier si l’on en juge par les commentaires que l’actrice a elle-même postés sur Twitter. C’est dans un lieu familier du prince William et de Kate, l’Old Course Hotel de Saint-Andrews en Ecosse que le sportif de 42 ans a fait sa demande à son aînée de quatre ans. Est-ce l’emballement des sentiments, mais, selon des témoins, le couple ayant pourtant recherché la discrétion, a échangé un baiser en public et Shane lui a remis une bague de fiançailles ornée d’un saphir et de diamants devant de nombreux clients de l’établissement qui ont spontanément applaudi. Il est vrai que Shane Warne ne se cache guère de sa relation avec l’actrice depuis décembre 2010, et que les bikinis de Liz Hurley n’ont rien à perdre d’un peu de publicité.
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