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Afin de mieux relever le niveau de la rhétorique du postulat universellement dévolu, à une conception relativement classifiée à des fins de vulgarisation de la pensée humaine, dans le but de redéployer mes arguments antérieurs étayés, sur l’adjonction absolument nécessaire du socle des politiques publiques aux extensions qui s’y impriment, de sorte à impulser une politique multisectorielleet multidimensionnelle de l’état, je renoue sans jamais abdiquer; ramolli par les injonctions que je suis au quotidien, confiné et effaré par la mage telle céleste, et insoumis à la horde et meute barbare, et de la discorde que je demeurerai à l’infini; avec certains de mes penchants naturellement voués à transcender lesincohérences résultant de la violation et les graves manquements observés, lorsqu’il faut allier l’option politique aux principes qui la sou-tend, principes sans lesquels; l’ordre de la préséance même, alloué à l’action politique et à l’application des grandes théories et doctrines, émanant de l’évolution, et de la consolidation des régimes politiques et les processus de développement économiques; se verront déroger de leur objectif.
Ainsi, revenant de nouveau, sur un aspect, du développement auto centré, je dirai, un aspect qui ne serait en rien, un glas lugubre, malgré la disparition du communisme, et à la fois, de par sa teneur et sa portée actuelles, parce que logé dans le creux des concepts les plus innovant, qui préconisent, la combinaison des genres, en référence, à un constat alarmant et accablant, de la mise en oeuvre des politiques de développement en Afrique; Guinée quel devenir 1, resurgit dans les sillages de cette analyse, à travers et l’entremise de ses anticipations, tendant à inciter la correction des politiques publiques par le biais d’une mise à profit des erreurs et les dérives accumulées; j’entrevois la logique de l’histoire s’entrebâiller, vu que de des équations suivantes: décentralisation+déconcentration=partage de compétences entre collectivitésterritoriales+organismes déconcentrés, quand la première valeur(décentralisation) admet transfert de tutelle, autonomie financière et délégation de pouvoir, pendant que le second, admet délégation de pouvoir, à l’opposé du principe d’unicité des caisses de l’état, vu qu’elle (unicité) laisse perplexe, quand à son issue, son adaptation rapide, les effets pervers possibles liés à l’adéquation des choix en investissement local, la lenteur probable du décaissement, lesquels faits obstrueront à leur tour, le rythme et le taux d’exécution des projets, en lieux et places, de lancer une réflexion à des fins de réformes et de recadrages de l’arsenal législatif, régissant le fonctionnement des collectivités territoriales, les communes et les CRD, sur fond de réforme générale de l’état, en sachant que la France, qui nous inspire, dans ce cas d’espèce, avait procédé à une vaste réforme des collectivités territoriales, et des communes en 1982, des réformes jugées très positives.
De là, à minimiser, réduire substantiellement et qualifier, les possibilités de l’état à sécuriser les dépenses publiques et celles des collectivités publiques, mettre en place des outils de gestion performante et modernes, avec à la clé, la création d’une cellule financière pour la répression, au sein soit de la gendarmerie nationale soit un corps spécialisé, ainsi qu’au sein de la justice, à la suite des cellules d’inspection, de dérisoires et le traiter d’incapacité, n’est plus, qu’une suite s’offrant à gré et à provision, à la décadence.
Ceci étant, la décentralisation contrairement à la déconcentration et comme des rapports à fusion nous en apportent les preuves, revêt une spécificité, qui la rend, contraire, à un développement de type auto centré, apparemment prôné par Conakry quoi qu’aux conséquences désastreuses, pour redorer le blason de l’agriculture, partant du fait, que seule une économie de marché, doublée des subventions publiques pour la production et le soutien à la filière d’écoulement des produits agricoles et au service de la dynamique d’une tutelle assurant le contrôle total, le suivi et l’élaboration des grandes orientations, seront à même, d’épargner l’effort d’autonomisation financière et de délégation progressives des collectivités, d’une dérive in conséquente, à l’opposé d’une politique qui renverrait à la centralisation financière et économique d’antan, car, plus l’état se dote de perspectives de développement et de réformes structurelles, plus il se dispense d’une bureaucratie improductive, accroît et prospecte les champs du développement local, en impulsant les grands équilibres, sous et à l’origine des initiatives locales. Ainsi débarrassé l’état des contraintes qui l’empêchent de se consacrer au développement à haute échelle, en transférant certaines de ces compétences aux collectivités locales, prouve à suffisance le niveau d’implication des populations dans le développement et ressort, le champ d’expression du vouloir local, et même permettre la spécialisation des régions en fonction des agrégats naturels, j’en passe !!!
En définitive, une politique ambitionnée selon les postulats universels,requinqués des agrégats et spécificités locaux, se doit un paravent et avantgardiste, contre, la tentation démesurée, l’occultation de l’action et le hasard scalpé, pour le fait, d’une prémonition à léguer, au compte du scrute de l’évolution, de ses aspects les plus insidieux aux plus déprimant de l’arbre de laconsolance, du compromis et de la concorde…..
Ah, la Guadeloupe, remonte jusqu’au ministère des finances à Conakry…Pas d’amalgame, sachant le désagrément au comble….