François Loncle a interpellé, ce jour, le gouvernement sur la fermeture possible de l'usine M-Real.« Décidément,Monsieur le Premier Ministre, l'industrie en France est à la peine. M-real,groupe finlandais, possède une usine de pâte à papier et une autre defabrication de papier situées en vallée de Seine, dans la commune d'Alizay. Cesite industriel vital pour l'axe Seine, l'un des projets du Grand Paris, estmenacé de fermeture. Les salariés de l'entreprise, les syndicats, les élus duterritoire se battent, depuis des mois, pour sauver ce qui était jusqu'alors unfleuron de l'économie régionale. Les pouvoirs publics sont intervenus,notamment la Préfète et le Commissaire à l'Industrialisation. Mais le groupefinlandais agit avec une absence totale de transparence. A la vielle d'une décisiongrave, deux groupes industriels, un français et un thaïlandais, et un groupefinancier allemand, se sont manifestés pour une reprise du site. Monsieur lePremier Ministre, il est urgent que le Gouvernement mette tout en œuvre pour éviterla fermeture, faciliter et organiser la reprise, utiliser plus largement lefonds stratégique d'investissement et aider à la diversification du site, commes'y est engagée la région Haute-Normandie. Ce sont 400 salariés et 500 autres enaval de l'entreprise qui sont concernés, menacés, mais qui espèrentencore. François LoncleDéputé de l'Eure
François Loncle a interpellé, ce jour, le gouvernement sur la fermeture possible de l'usine M-Real.« Décidément,Monsieur le Premier Ministre, l'industrie en France est à la peine. M-real,groupe finlandais, possède une usine de pâte à papier et une autre defabrication de papier situées en vallée de Seine, dans la commune d'Alizay. Cesite industriel vital pour l'axe Seine, l'un des projets du Grand Paris, estmenacé de fermeture. Les salariés de l'entreprise, les syndicats, les élus duterritoire se battent, depuis des mois, pour sauver ce qui était jusqu'alors unfleuron de l'économie régionale. Les pouvoirs publics sont intervenus,notamment la Préfète et le Commissaire à l'Industrialisation. Mais le groupefinlandais agit avec une absence totale de transparence. A la vielle d'une décisiongrave, deux groupes industriels, un français et un thaïlandais, et un groupefinancier allemand, se sont manifestés pour une reprise du site. Monsieur lePremier Ministre, il est urgent que le Gouvernement mette tout en œuvre pour éviterla fermeture, faciliter et organiser la reprise, utiliser plus largement lefonds stratégique d'investissement et aider à la diversification du site, commes'y est engagée la région Haute-Normandie. Ce sont 400 salariés et 500 autres enaval de l'entreprise qui sont concernés, menacés, mais qui espèrentencore. François LoncleDéputé de l'Eure