Le forfait que viens de déclarer Borloo pose, ànouveau, la question du centre. A la vérité un centre, dont on sait à l’avance,qu’ils’ alliera au deuxième tour à la droite, constitue une simple manœuvrepolitique destinée à engranger des voix dont on espère-pas toujours à raison-qu’elles iront ensuite gonfler le scorede Sarkozy.Ce centre droit nous dit et nous repère qu’il n’a pasles même valeurs que la droite et qu’il va « peser » ensuite dans lapolitique de cette droite. C’est une illusion qui ne trompe plus personne et, àcette heure, où la droite est tentée de se rapprocher de l’extrême droite commecela a été la politique de Sarkozy, on a bien vu que ceux (Borloo, Morin,Bockel) qui prétendaient qu’ils « pèseraient » sur cette politique n’ontpesé sur rien et ont été les dindons de la farce et leurs électeurs avec eux.Je pense qu’après cette démission de Borloo, avant mêmed’engager le combat, ce centre droit n’a plus aucune crédibilité et ce n’estpas le pauvre Morin qui changera cette situation.Ceux donc ,parmi les électeurs centristes, qui ne sereconnaissent pas dans cette droite dure, sectaire, embourbée dans lesaffaires, et qui a pratiqué, pendant tout ce septennat, la politique la plus a droitequi ait été, avec le sucés que l’on sait, ne peuvent plus que se reporter surBayrou qui a eu le mérite de toujours défendre des solutions républicaines etconformes au génie de la France et qui, contrairement aux autres n'a pas renié ses valeurs pour des postes.Si les Borloo, Bockel, Morin et autres s’allient, unenouvelle fois à Sarkozy, ils obtiendront, sans doute quelques postes mais qu’ils ne viennent pas soutenir qu’ils ont d’autresvaleurs que la droite.La défection de Borloo aura, au moins le mérite demettre le centre droit devant sa responsabilité.
Le forfait que viens de déclarer Borloo pose, ànouveau, la question du centre. A la vérité un centre, dont on sait à l’avance,qu’ils’ alliera au deuxième tour à la droite, constitue une simple manœuvrepolitique destinée à engranger des voix dont on espère-pas toujours à raison-qu’elles iront ensuite gonfler le scorede Sarkozy.Ce centre droit nous dit et nous repère qu’il n’a pasles même valeurs que la droite et qu’il va « peser » ensuite dans lapolitique de cette droite. C’est une illusion qui ne trompe plus personne et, àcette heure, où la droite est tentée de se rapprocher de l’extrême droite commecela a été la politique de Sarkozy, on a bien vu que ceux (Borloo, Morin,Bockel) qui prétendaient qu’ils « pèseraient » sur cette politique n’ontpesé sur rien et ont été les dindons de la farce et leurs électeurs avec eux.Je pense qu’après cette démission de Borloo, avant mêmed’engager le combat, ce centre droit n’a plus aucune crédibilité et ce n’estpas le pauvre Morin qui changera cette situation.Ceux donc ,parmi les électeurs centristes, qui ne sereconnaissent pas dans cette droite dure, sectaire, embourbée dans lesaffaires, et qui a pratiqué, pendant tout ce septennat, la politique la plus a droitequi ait été, avec le sucés que l’on sait, ne peuvent plus que se reporter surBayrou qui a eu le mérite de toujours défendre des solutions républicaines etconformes au génie de la France et qui, contrairement aux autres n'a pas renié ses valeurs pour des postes.Si les Borloo, Bockel, Morin et autres s’allient, unenouvelle fois à Sarkozy, ils obtiendront, sans doute quelques postes mais qu’ils ne viennent pas soutenir qu’ils ont d’autresvaleurs que la droite.La défection de Borloo aura, au moins le mérite demettre le centre droit devant sa responsabilité.