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Une plaquette bilan matérialise les éléments visibles de la politique des « Grandes ambitions » dans ce secteur.
Il faut plus que les dix doigts des mains pour comptabiliser les projets, mesures et autres décisions mis en œuvre dans le cadre du septennat 2004-2011 de Paul Biya, en vue d'assurer une croissance soutenue, durable et profitable à tous. Des actions courageuses, visant notamment l'assainissement des finances publiques, auront été nécessaires pour ce faire. Au rang de celles-ci : les réformes du secteur bancaire, la réforme fiscalo-douanière, la lutte contre la corruption, l'amélioration du climat d'investissement et la promotion du secteur privé comme moteur de la croissance, la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, la relance du secteur agricole, etc.
Concrètement, le redressement des finances publiques est notamment attesté par le niveau du solde budgétaire base engagements de 3% en moyenne annuelle sur la période 2007-2010, un taux d'inflation de 1,1% en 2010 inférieur au critère de convergence Cemac de 3%. Mais aussi, un encours de la dette extérieure en pourcentage du PIB passé de 105% en 1994, 65% en 2001, 42% en 2004 à 9% en 2010. Confirmant cette dynamique, les indices de performance du Cameroun dans les principaux secteurs sont quasiment au vert, témoignant ainsi que les fondamentaux macroéconomiques sont favorables à l'investissement et à la création d'emploi. D'où l'élaboration en 2009 du Document de Stratégie pour la Croissance et l'Emploi (DSCE), en remplacement du Document de Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté (DSRP).
En matière de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, le président Paul Biya a prescrit au gouvernement une série de mesures pour juguler le spectre de l'inflation des prix des denrées de première nécessité, aux lendemains des « émeutes de la faim ». Pour mettre un terme à la vulnérabilité de l'offre locale des denrées alimentaires face à une demande croissante, de nombreuses initiatives ont été prises dans le secteur agricole. Avec un doublement de la plupart des productions en cinq ans, notamment celles du maïs (de 800 mille tonnes en 2005 à plus de 2 millions de tonnes en 2010), du riz (60 mille tonnes à près de 200 mille tonnes), du manioc (de 1,5 million tonnes à 3 millions), du cacao (de 120 mille à 240 mille tonnes), du palmier à huile se situant au-delà de 240 mille tonnes de nos jours, l'agriculture est en passe de devenir un des piliers de la croissance. En 2010, elle a contribué de 19% au PIB. Toutes ces réalisations et bien d'autres sont à découvrir dans la plaquette mise à la disposition du public.
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