Voilà, quelques mots de rentrée sur les post-it. Oui les grandes oeuvres sont toujours visible depuis le petit parc à la Défense même si une grande partie des petites oeuvres ont disparu.
Le petit sondage s’est clos avec 822 votes, et un net penchant pour l’oeuvre Gauloise, et pour les petites oeuvres un net penchant pour la frise mario kart. Félicitations à tout le monde.
Notons le bloc note de Bertrand Duperrin qui a repris notre analyse du team building et des post it et qui termine par ces mots son analyse :
Conclusion : les choses les plus simples sont souvent les plus efficaces, il faut savoir laisser faire les salariés et leur faire confiance, quand on on prône certaines valeurs il faut avoir des actes en conséquence….et tout démarre toujours “dans la vraie vie” et pas en ligne?
Comme je l’avais déjà évoqué, je pense que chaque entreprise doit faire le travail d’introspection sur pourquoi elle a autorisé ou non les post-it et comment cela a été perçu. Ce que je retiens des personnes qui ont participé, c’est que j’ai souvent entendu les mots « fierté, et visibilité à une époque où son travail est noyé dans l’entreprise ». J’ai discuté hier avec une personne hier aussi qui avait mal pris au début le jeu, et qui en discutant avec une personne qui avait fait cela avait changé d’avis, car cela n’avait en rien altéré la qualité de son travail, ce n’était pas mal ni préjudiciable, et cela avait mis un tel sourire à la personne qui l’avait fait… le dialogue est important, et surtout ne pas être paralysé par le cerveau reptilien, par des peurs, voire des « auto-peur ». Une entreprise doit s’interroger sur le fait que si elle a peur de poser un post it sur une fenêtre elle aura peut être peur de défendre des idées qui en valent la peine voire nécessaires…
Pour finir j’aimerais terminer sur la notion de travail, et Stine Arensbach a résumé les conflits intérieurs sur son blog de communication visuelle, les gens se prennent au sérieux et jouent leur propre rôle et on finit par avoir cela :
Le vrai travail n’est pas drôle
Pensez-vous qu’il n’est pas préférable de pouvoir venir au travail le sourire sur les lèvres ?