source: une lettre à Adèle.
Ce que j'ai vu à Etretat est admirable.
La falaise est percée de distance en distance de
grandes arches naturelles sous lesquelles
la mer vient battre dans les marées.J'ai
attendu que la marrée fut basse, et, à travers
les goëmons, les flaques d'eau, les algues
glissantes et les gros galets couverts d'herbes
peignées par les flots qui sont comme
des crânes avec des chevelures vertes, je suis
arrivé jusqu'à la grande arche, que j'ai dessinée.