Il ne me reste que ces mots, ces pauvres mots porteurs d’un souffle d’espérance que nul ne pourra étouffer ou corrompre, que vous lirez j’espère, s’ils parviennent jusqu’à vous, afin de réfléchir vraiment au monde que vous souhaitez, de vous poser la seule question qui compte : voulez-vous donner une chance à la vie, ou voulez-vous mourir ?