« Selon les civils qui fuient Syrte, l'eau et l'électricité sont coupées la plupart du temps dans la ville, les stocks de nourriture sont presque épuisés et l'accès aux soins de santé est très difficile », a indiqué Georges Comninos, chef de la délégation du CICR à Tripoli. « L’hôpital manquerait cruellement de médicaments et de matériel médical. Nous sommes de plus en plus préoccupés par la situation humanitaire qui prévaut sur place. » (Lire la suite)
A revoir l'interview vidéo de la semaine dernière.