Non, ce n’est pas moi qui le dit (pensez-vous…), mais la cour de cassation, qui a jugé que le fait de consulter des sites classés XXX, mais aussi des sites de rencontre, était un motif valable de licenciement pour faute grave.
Pas de chance donc pour cet agent d’exploitation rattaché au groupe Nicollin, qui aurait écumé entre les mois de janvier et d’avril 2007 sur son poste de travail des sites tels que club-mateur, sexfulove, sa-sex ou encore club-sexyloo pour ne citer qu’eux, et qui s’est fait mettre à la porte pour ce motif.
Mais pas que, puisque selon le site numerama, l’homme aurait également abusé de son autorité, demandant de manière plus ou moins directe des faveurs sexuelles à une employée, après que cette dernière ait « demandé » le reclassement du contrat de son compagnon, évoluant dans la même boîte, en CDI. Euh…
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