Séparées. Elles sont jumelles, mais n’ont découvert le visage de leur sœur qu’à onze mois. Rital et Ritag Gaboura, deux siamoises nées le 22 septembre 2010 à Khartoum, au Soudan, ont subi le 15 août dernier une opération rarissime et très délicate à l'hôpital pour enfants de Great Ormond Street de Londres : elles ont été séparées de la tête. Arrivées le 13 avril, elles avaient besoin de cette intervention de toute urgence : le cœur de la petite Ritag fournissait la moitié de l'alimentation sanguine du cerveau de Rital, si bien qu’il faiblissait de jour en jour, menaçant de créer des défaillances irréversibles aux cerveaux des petites ou pire, de s’arrêter. Au total, quatre opérations auront été nécessaires pour ce miracle. " title="Les histoires d'amour finissent bien en général...." />
Séparées. Elles sont jumelles, mais n’ont découvert le visage de leur sœur qu’à onze mois. Rital et Ritag Gaboura, deux siamoises nées le 22 septembre 2010 à Khartoum, au Soudan, ont subi le 15 août dernier une opération rarissime et très délicate à l'hôpital pour enfants de Great Ormond Street de Londres : elles ont été séparées de la tête. Arrivées le 13 avril, elles avaient besoin de cette intervention de toute urgence : le cœur de la petite Ritag fournissait la moitié de l'alimentation sanguine du cerveau de Rital, si bien qu’il faiblissait de jour en jour, menaçant de créer des défaillances irréversibles aux cerveaux des petites ou pire, de s’arrêter. Au total, quatre opérations auront été nécessaires pour ce miracle. " border="0" /> Elles sont jumelles, mais n’ont découvert le visage de leur sœur qu’à onze mois. Rital et Ritag Gaboura, deux siamoises nées le 22 septembre 2010 à Khartoum, au Soudan, ont subi
le 15 août dernier une opération rarissime et très délicate à l'hôpital pour enfants de Great Ormond Street de Londres : elles ont été séparées de la tête. Arrivées le 13 avril, elles avaient
besoin de cette intervention de toute urgence : le cœur de la petite Ritag fournissait la moitié de l'alimentation sanguine du cerveau de Rital, si bien qu’il faiblissait de jour en jour,
menaçant de créer des défaillances irréversibles aux cerveaux des petites ou pire, de s’arrêter. Au total, quatre opérations auront été nécessaires pour ce miracle.
(Facing
the World/NBC/AP/SIPA)
Écolo.
Le tri sélectif, une affaire de tous mais pas pour les mêmes raisons!
Écolo. Dans les rues de Panchkula, dans l’État de Haryana, au nord de l'Inde, cet homme transporte sur son charriot, des bidons en plastique vers une station de recyclage. Dans ce pays, la récupération et la transformation des déchets est une pratique courante. Les habitants des bidonvilles récupèrent ces bouteilles usagées pour leur donner une nouvelle vie. Ainsi, ils trouvent à la fois de quoi nourrir mieux leur famille et un peu de dignité. " title="Les histoires d'amour finissent bien en général...." />
Écolo. Dans les rues de Panchkula, dans l’État de Haryana, au nord de l'Inde, cet homme transporte sur son charriot, des bidons en plastique vers une station de recyclage. Dans ce pays, la récupération et la transformation des déchets est une pratique courante. Les habitants des bidonvilles récupèrent ces bouteilles usagées pour leur donner une nouvelle vie. Ainsi, ils trouvent à la fois de quoi nourrir mieux leur famille et un peu de dignité. " border="0" />
Dans les rues de Panchkula, dans l’État de Haryana, au nord de l'Inde, cet homme transporte sur son charriot, des bidons en plastique vers une station de recyclage. Dans ce pays, la
récupération et la transformation des déchets est une pratique courante. Les habitants des bidonvilles récupèrent ces bouteilles usagées pour leur donner une nouvelle vie. Ainsi, ils trouvent à
la fois de quoi nourrir mieux leur famille et un peu de dignité.
(Ajay Verma/REUTERS)
L’image.
Incroyable mais vrai!
la "burka" se fait son petit bonhomme de
chemin.....
L’image. On pourrait croire que nous avons remonté le temps. A Kaboul, alors que les infrastructures et les moyens de locomotion sont encore quasiment inexistants, un homme transporte dans sa charrette à bras, une femme en burqa. Cet équipement, bien que rudimentaire, assure pratiquement tous les services. Du transport des passagers à celui des marchandises, en passant par celui des matériaux de construction, voire la distribution de l’eau potable et la collecte des ordures ménagères, rien ne lui est impossible et tout cela à des prix défiants toute concurrence ! " title="Les histoires d'amour finissent bien en général...." />
L’image. On pourrait croire que nous avons remonté le temps. A Kaboul, alors que les infrastructures et les moyens de locomotion sont encore quasiment inexistants, un homme transporte dans sa charrette à bras, une femme en burqa. Cet équipement, bien que rudimentaire, assure pratiquement tous les services. Du transport des passagers à celui des marchandises, en passant par celui des matériaux de construction, voire la distribution de l’eau potable et la collecte des ordures ménagères, rien ne lui est impossible et tout cela à des prix défiants toute concurrence ! " border="0" />
On pourrait croire que nous avons remonté le temps. A Kaboul, alors que les infrastructures et les moyens de locomotion sont encore quasiment inexistants, un homme transporte dans sa charrette
à bras, une femme en burqa. Cet équipement, bien que rudimentaire, assure pratiquement tous les services. Du transport des passagers à celui des marchandises, en passant par celui des matériaux
de construction, voire la distribution de l’eau potable et la collecte des ordures ménagères, rien ne lui est impossible et tout cela à des prix défiants toute concurrence !
(Omar Sobhani/REUTERS)
Sauve qui peut.
Je croyais que le naufrage du Titanic c'était il y a longtems?
J'ai du me tromper.....
Sauve qui peut. Cette situation pourrait s’appeler l’«effet boule de neige». Un bateau de secouristes a heurté de plein fouet un autre navire alors qu’il tentait de lui porter secours sur la rivière Jialing à hauteur de la ville de Chongqing, en Chine. Les pluies torrentielles ont provoqué la crue de cet affluent majeur du Yangtsé, dont les eaux se sont engouffrées à une vitesse estimée à 40.000 mètres cubes par seconde. Pour l’heure, selon le dernier bilan établi mardi par les autorités locales, près de 60 personnes ont trouvé la mort, des dizaines sont portées disparues et plus d'un million ont été évacuées. Chaque année en Chine, les précipitations torrentielles de fin d'été sont meurtrières et en 2010, plus de 4300 personnes avaient disparu. " title="Les histoires d'amour finissent bien en général...." />
Sauve qui peut. Cette situation pourrait s’appeler l’«effet boule de neige». Un bateau de secouristes a heurté de plein fouet un autre navire alors qu’il tentait de lui porter secours sur la rivière Jialing à hauteur de la ville de Chongqing, en Chine. Les pluies torrentielles ont provoqué la crue de cet affluent majeur du Yangtsé, dont les eaux se sont engouffrées à une vitesse estimée à 40.000 mètres cubes par seconde. Pour l’heure, selon le dernier bilan établi mardi par les autorités locales, près de 60 personnes ont trouvé la mort, des dizaines sont portées disparues et plus d'un million ont été évacuées. Chaque année en Chine, les précipitations torrentielles de fin d'été sont meurtrières et en 2010, plus de 4300 personnes avaient disparu. " border="0" />
Cette situation pourrait s’appeler l’«effet boule de neige». Un bateau de secouristes a heurté de plein fouet un autre navire alors qu’il tentait de lui porter secours sur la rivière
Jialing à hauteur de la ville de Chongqing, en Chine. Les pluies torrentielles ont provoqué la crue de cet affluent majeur du Yangtsé, dont les eaux se sont engouffrées à une vitesse estimée à
40.000 mètres cubes par seconde. Pour l’heure, selon le dernier bilan établi mardi par les autorités locales, près de 60 personnes ont trouvé la mort, des dizaines sont portées disparues et
plus d'un million ont été évacuées. Chaque année en Chine, les précipitations torrentielles de fin d'été sont meurtrières et en 2010, plus de 4300 personnes avaient disparu.
(AFP)
Passage.
Les typhons au Japon c'est très "Roke" and Roll.....
Passage. Le violent typhon Roke a traversé mercredi le centre du Japon comme ici où de gigantesques vagues déferlent sur le port de Kiho. Pour le moment, au moins quatre personnes ont trouvé la mort dans le centre et l'ouest du pays tandis que trois autres dont un enfant sont recherchées,. En fin de journée, Roke continue son avancée avec des rafales de vent approchant les 200 km/h et se dirige vers la région du Tohoku (nord-est), ravagée par le séisme et le tsunami du 11 mars. L'exploitant de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (220 km au nord-est de Tokyo), a affirmé avoir pris diverses dispositions et suspendu des travaux en prévision de l’arrivée de cette nouvelle menace. " title="Les histoires d'amour finissent bien en général...." />
Passage. Le violent typhon Roke a traversé mercredi le centre du Japon comme ici où de gigantesques vagues déferlent sur le port de Kiho. Pour le moment, au moins quatre personnes ont trouvé la mort dans le centre et l'ouest du pays tandis que trois autres dont un enfant sont recherchées,. En fin de journée, Roke continue son avancée avec des rafales de vent approchant les 200 km/h et se dirige vers la région du Tohoku (nord-est), ravagée par le séisme et le tsunami du 11 mars. L'exploitant de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (220 km au nord-est de Tokyo), a affirmé avoir pris diverses dispositions et suspendu des travaux en prévision de l’arrivée de cette nouvelle menace. " border="0" />
Le violent typhon Roke a traversé mercredi le centre du Japon comme ici où de gigantesques vagues déferlent sur le port de Kiho. Pour le moment, au moins quatre personnes ont trouvé la mort
dans le centre et l'ouest du pays tandis que trois autres dont un enfant sont recherchées,. En fin de journée, Roke continue son avancée avec des rafales de vent approchant les 200 km/h et
se dirige vers la région du Tohoku (nord-est), ravagée par le séisme et le tsunami du 11 mars. L'exploitant de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (220 km au nord-est de Tokyo), a
affirmé avoir pris diverses dispositions et suspendu des travaux en prévision de l’arrivée de cette nouvelle menace.
(Daiji Yanagida/AP/SIPA)
Rendez-vous.
T'as de belles dents tu sais !
T'es pas mal non plus!
Bon bref, voudrais tu être le parain?
J'sais pas, en ce moment l'or est au plus haut et pour la gourmette j'ai peur que ça fasse un
trou.........
dans le budget sécurité nationale!
Rendez-vous. La question palestinienne est en passe de connaître un moment de vérité. Les présidents français et américain sont tous deux intervenus mercredi devant l'Assemblée générale de l'ONU à New-York à ce sujet et des divergences entre le Vieux continent et l'Amérique sont apparues au grand jour. Alors qu'il avait déclaré soutenir la création d'un Etat palestinien, Barack Obama est aujourd'hui acculé à s'opposer à cette initiative. Nicolas Sarkozy a défendu une position sensiblement différente, critiquant de manière à peine voilée l'intransigeance américaine. Le président français a proposé un «statut intermédiaire d'État observateur» pour la Palestine à l'ONU, invitant Israéliens et Palestiniens à faire des «compromis» pour parvenir à un accord de paix «définitif» d'ici un an. " title="Les histoires d'amour finissent bien en général...." />
Rendez-vous. La question palestinienne est en passe de connaître un moment de vérité. Les présidents français et américain sont tous deux intervenus mercredi devant l'Assemblée générale de l'ONU à New-York à ce sujet et des divergences entre le Vieux continent et l'Amérique sont apparues au grand jour. Alors qu'il avait déclaré soutenir la création d'un Etat palestinien, Barack Obama est aujourd'hui acculé à s'opposer à cette initiative. Nicolas Sarkozy a défendu une position sensiblement différente, critiquant de manière à peine voilée l'intransigeance américaine. Le président français a proposé un «statut intermédiaire d'État observateur» pour la Palestine à l'ONU, invitant Israéliens et Palestiniens à faire des «compromis» pour parvenir à un accord de paix «définitif» d'ici un an. " border="0" />
La question palestinienne est en passe de connaître un moment de vérité. Les présidents français et américain sont tous deux intervenus mercredi devant l'Assemblée générale de l'ONU à
New-York à ce sujet et des divergences entre le Vieux continent et l'Amérique sont apparues au grand jour. Alors qu'il avait déclaré soutenir la création d'un Etat palestinien, Barack
Obama est aujourd'hui acculé à s'opposer à cette initiative. Nicolas Sarkozy a défendu une position sensiblement différente, critiquant de manière à peine voilée l'intransigeance
américaine. Le président français a proposé un «statut intermédiaire d'État observateur» pour la Palestine à l'ONU, invitant Israéliens et Palestiniens à faire des «compromis» pour
parvenir à un accord de paix «définitif» d'ici un an.
(Kevin Lamarque/REUTERS)