Perdus Dans L'Espace

Publié le 28 septembre 2011 par Olivier Walmacq

genre: science fiction
Année: 1998
durée: 1h55

l'histoire: 2050. La Terre va mourir. Pour sauver l'humanité, le Pr Robinson et son équipe doivrent ouvrir un tunnel spatio-temporel vers Alpha-Prime. Après une tentative de sabotage, l'astronef et ses occupants se retrouvent perdus dans l'espace.

la critique d'Alice In Oliver:

Bien sûr, comme d'autres stars de séries célèbres, Matt Leblanc a tenté de percer au cinéma. L'acteur a envie de prouver qu'il peut jouer autre chose qu'un grand niais, via son personnage dans la série Friends.
Aussi, croit-il détenir un grand rôle dans Perdus dans l'espace, un film de science fiction réalisé par ce tâcheron de Stephen Hopkins.
Erreur !

Pourtant, Perdus dans l'espace réunit tout de même un sacré casting: William Hurt, Mimi Rogers, Gary Oldman et Heather Graham.
Certaines stars sont donc à l'affiche de ce film de SF qui se veut ambitieux. Malheureusement, Stephen Hopkins propose une sorte de space opera du pauvre, avec des effets visuels d'une mocheté à toute épreuve !

Au niveau du scénario, c'est plutôt incompréhensible... Dans le futur, la Terre est condamnée à mourir. Mais il existe un dernier espoir.
Des astronautes sont donc envoyés en mission pour sauver l'humanité. Pour cela, notre équipe de scientifiques doit ouvrir un porte spatio-temporelle...
Malheureusement, notre équipe d'astronautes se retrouve dans le vide spatial, au beau milieu de nulle part, perdus dans l'immensité de notre cosmos. Finalement, le titre du film résume à lui seul le scénario...

A partir de là, Perdus dans l'espace sombre dans les précipices les plus profonds du caca. Matt Leblanc et son équipage atterriront alors sur une étrange planète. C'est sur cette contrée lointaine que Matt Leblanc rencontrera un singe violet, qui est censé être l'atout comique du film...
En vérité, Perdus dans l'espace est un film lamentable, honteux, minable, nul, idiot, moche, aux effets spéciaux périmés.
Bref, vous l'avez compris: il n'y a strictement rien à sauver de cet étron flotteur. En même temps, que pouvait-on attendre d'un film de science fiction avec Matt Leblanc ? Non mais !

Note: