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Un souffle de vent et immobile, je repars avec toi.
Je te regarde, de loin, la grâce de ta silhouette, ta chevelure fière et noire, ton corps de femme qui danse le ballet de la vie. Je me demande si tu as parlé à Hypatie, si tu as lu ses commentaires sur L'Arithmétique de Diophante ou sur Les Tables de Ptolémée.
J’avais été frappé par la clarté de ses remarques sur Les Coniques d'Apollonius de Perga.
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L'intégralité de ce très beau texte ICI