High vs. Low

Les high de mon samedi:

- à 9h, le buzzer résonne et j'ai la surprise de voir mon père chargé de croissants et de tout un tas de provisions estivales sympas (fraises, cerises, brugnons, etc). Petit-déjeuner père-fille, un de ces moments de complicité que j'adore. On refait le monde à notre sauce autour du café.

- à 11h, pas de scrupule, c'est le vikend, alors place au group-hug dans mon grand lit... l'Homme, mini-moi, et moi, tous les trois sous la couette... câlins, bisous, sieste, no stress. J'aimerais pouvoir arrêter le temps.

- à 19h, la piqûre que je devais me faire depuis 1 mois. J'appréhendais, ça y est, c'est fait, et j'ai cette sensation exaltante du défi relevé. Yes, je suis trop forte. Ne dit-on pas que la crainte de la souffrance est pire que la souffrance elle-même?

Les low:

- l'après-midi que j'ai perdue pour cause de grosse fatigue. Je deteste faire le légume mais j'ai succombé à 3 heures de pionçage intense, au moment où je m'y attendais le moins. Féchié.

- quand une remarque a dégénéré et que l'Homme a sorti une missive qui restera dans les annales.

Entre mes high et mes lows.... journée raccourcie, un apéro sympa avec pois-chiches en amuse-gueule (je souligne car j'avais encore jamais vu des pois-chiches servis avec un kir), la rencontre inattendue avec un vieux copain, l'installation et la découverte de Joost, la pluie à gogo dès que j'ai mis le nez dehors, un peu de blogging, et bien sûr une bonne bouffe entre amis pour finir la journée.

Voilà pour le 3615-ma-life de ce 2 juin.