Dynamite est un éditeur avec plein d’idées. Enfin Dynamite est un éditeur qui aime bien reprendre des concepts qui ont bien fonctionné, au cinéma, à la télé ou ailleurs et (re)lancer le tout en comic book.
Ici nous avons un concept, qui pourrait paraître bizarre dans un premier temps mais, qui a au moins le mérite d’attirer l’attention. Terminator Robocop: Kill human. Un crossover entre l’univers de Terminator et celui de Robocop. Pourquoi pas ?
La trame du jugement dernier :
Ce n’est pas vraiment un mélange d’univers. En fait l’auteur a choisi d’introduire le personnage dans l’univers de Terminator et plus précisément dans la trame de l’histoire du deuxième film Terminator, réalisé par James Cameron.
Le tome 1 débute avec se termine avec Robocop qui assassine la dernière humaine et il accomplit donc l’objectif de Skynet. Les humains n’existent plus, Skynet ne considère pas Robocop comme un humain.
Le numéro #2 voit donc Robocop revenir dans le passé pour empêcher que l’humanité ne soit détruite. Il revient dans le passé comme l’a fait le personnage de Schwarzenegger. D’ailleurs Robocop (l’agent Murphy) se retrouve face à Schwarzy qui démonte des voitures de flics à l’aide d’une mitrailleuse lourde. Robocop recherche Sarah et John Connor. Et voilà !
Il est tôt pour le dire mais, le fait de reprendre la trame du film va sans doute limiter complètement la créativité du scénariste. J’ai vraiment l’impression qu’on va avoir un remake du jugement dernier avec Robocop au milieu. Pas franchement passionnant si ça tourne comme ça. Cela étant dit, les deux premiers tome sont sympa et se lisent facilement.
Illustration moyenne :
Le « problème » avec cette série, c’est le niveau des dessins. Assez moyen. Autre point faible de cette BD, trois coloristes travaillent sur ce projet. C’est un peu trop pour avoir une régularité et un niveau correct. Les ombres et les lumières ne sont pas extraordinaire mais, dans l’ensemble on y pense plus en voyant Robocop face à Schwarzy.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble