Image via Wikipedia
Revenant toujours, sur le discours du Pr Alpha Condé devant la 66° assemblée générale des Nations-Unies, comme un pic dans un amas de disjonctions et de constellations primitivement allouées à river les supputations réimposées et à la risée, des dissections sporadiques d’un ordre appelé à s’éclipser, et quoi que, (amas) subtilement, dévolus, à marquer, les points de divergences, pour ainsi élucider, les points de convergences, tout en me permettant de franchir le Rubicon et lever le voile, sur l’incompris et l’incompressible divagation qui taraudent, au point de faire émousser, toutes les tentatives d’accréditations des structures innovantes, d’agrégats conceptuels à la hauteur des impératifs sociaux, économiques, politiques et mêmes culturelles, largement réactualisés et revigorés à la lumière et l’éclat, d’un sursaut avéré comme le credo d’une largesse d’esprit, accaparée à la faveur d’une introspection non au sens exigu du terme, mais tout au plus, un recul sur soi, afin de mieux entrevoir l’avenir auréolé d’un véritable Riquiqui; mon cerveau se regimbe, se reprend et s’enclenche, sous le poids des incertitudes méthodologiques, les dérives intempestives d’un pouvoir titubant et balbutiant sous les injonctions vindicatives, afin de demeurer au creux d’un discours qui paraît, on n’en peut plus, fondateur, d’un ordre qui s’illustrent peu à peu par ses incohérences, ses accointances avec le terrain des conceptions aiguisées et son assimilation de l’incompétence à une absence totale de marges de manoeuvres, l’inertie prononcée par anticipation au regard de la confusion générale, suscitée, par moult digressions, tel qu’en témoigne, ce discours, dont la narration à l’image des récits historiques, se fait au passé simple, de ce fait, obstrue, occulte et s’enferme dans une logique acquise, à la réunion de tous les préalables, à l’amorce des réformes en tous genres et leurs mises en œuvre, en lieu et place de leur entame, à savoir la conception et l’élaboration de certaines réformes, ne nécessitant obligatoirement une saisine du parlement, au détriment d’un discours, ouvert, futuriste et construit en prévisions des perspectives qui pointent à l’horizon temporel, car, à lire et relire, ce discours, on s’aperçoit que c’est un plaidoyer en faveur du retour des investisseurs au motif que l’héritage trouvé sur place, ne laissait guère, présager un lendemain meilleur, je cite:
« Les défis à relever sont nombreux et complexes. La situation socioéconomique dont nous avons hérité n’était point reluisante. Une économie complètement désarticulée avec pour corollaires l’inflation, la corruption, un dysfonctionnement total de l’Etat ».
Ainsi plus loin, il s’engage à demeurer, en phase avec les principes sans lesquels, rêver de démocratie, voir d’un état de droit serait illusoire. En cela, et relativement à l’interdiction des manifestations, qui est un droit constitutionnellement reconnue à toute formation politique, qui se soumet et se conforme à la procédure légale, prévue par la loi, ce passage, est une souscription, devant l’institution la mieux étoffée, pour s’enquérir du degré d’application du droit, assortie, du respect scrupuleux des libertés fondamentales et d’un pouvoir de sanctions de toutes exactions ciblées et violant, les principes universels, de préservation, de protection juridique et de sauvegarde de la vie, d’autrui, je cite:
« C’est le lieu pour moi d’assurer la communauté internationale de l’engagement de mon gouvernement de respecter et de promouvoir les droits de l’homme, de consolider l’unité et la concorde nationale, de bâtir une société démocratique et d’assurer le progrès et la prospérité des populations Guinéennes »
à suivre…