J'ai personnellement boycotté l'épreuve (ohé, comme spectatrice, pas comme participante, on s'en doute) depuis qu'en 1998 ce pauvre Virenque, dès lors surnommé "le p'tit qu'a pêché", fut convaincu d'avoir pris des trucs pas propres, pour même pas finir premier en plus.
J'étais désormais toute prête à jeter la pierre à cette fameuse et toute-puissante "Société du Tour de France", où gravitaient d'anciens cyclistes à la taille épaissie ou des hommes d'affaires, fans de ... vélo, bien sûr.
Or un doute affreux m'étreint cette année suite à quelques propos que j'ai entendus il y a un p'tit moment, sur les ondes je crois.
Il semblerait que d'horribles groupes financiers aient repéré le monde de la course cycliste et se frottent les pognes à l'idée de les poser sur le pactole. Car ça rapporte, le ... vélo.
Suspect, non ? ou bidon ?
Alors, faut-il sauver le soldat Ryan Tour de France ? Ou jeter le dopé avec l'EPO du bain ?