Allomusic vous facilite le choix parmi les nombreux albums qui sortent ce lundi… Sélection !
GLEE
« GLEE THE 3D CONCERT MOVIE » (2011)
Chronique d’Antoine Le Lay
« Premier titre, Don’t Stop Believin’, premier ôde à l’Amérique, mais aussi premiers cris dépassant de plusieurs octaves la plainte de la truie égorgée. La chanteuse ? Non, pas cette fois. Plutôt un public décidé à donner tout son sens au mot « live ». (Je panique maintenant à l’idée de chroniquer le concert de Justin Bieber.) »
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NNEKA
« SOUL IS HEAVY » (2011)
Chronique de Thomas Chouanière
« Genre devenu syncrétique par les apports successifs de la pop, de la folk et du reggae, la soul a trouvé un relai des plus polymorphes avec Nneka. En deux opus, la native du Nigéria était apparue comme une sorte d’héritière de Lauryn Hill au son clinquant, avec l’ambition affichée de sonner comme une voix universelle (…) »
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GREG LAFFARGUE
« QUOTIDIEN » (2011)
Chronique d’Antoine Deshusses
« Plébiscité par les internautes du label communautaire en ligne My Major Company,Greg Laffargue dispose de pas mal d’atouts pour que son premier album, « Quotidien », s’impose au public. S’inscrivant sans se cacher dans le (large) sillon creusé par Christophe Maé, Greg chante le soleil : une musique pop, folk et reggae et des textes simples, entonnés avec enthousiasme. Et avec l’accent. »
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BLINK-182
« NEIGHBORHOODS » (2011)
Chronique de Christophe Lorentz
« Si le groupe a clairement su exploiter une certaine maturité musicale et un désir d’élargir sa palette, on retrouve quand même tout au long de ce CD les rythmes bondissants, les mélodies ensoleillées, la basse volubile et les riffs mélodieux qui ont fait la gloire de Blink-182. La voix de Mark Hoppus n’a rien perdu de sa juvénilité nasillarde, et les fameux breaks dépouillés répondent encore présents à l’appel. (…) »
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LA B.O. D « UN MONSTRE A PARIS »
Chronique de Laurent Bechetoille
« Sept ans après Gang de requins, Eric Bergeron revient avec Un Monstre à Paris, un projet de dessin animé « so french », formaté pour nos amis Américain : le Paris de 1910 et toute l’imagerie romantique que l’on peut associer à cette époque.
Mettant en scène une chasse au monstre menée tambour battant par un timide projectionniste et un inventeur exubérant, Un Monstre à Paris surfe sur la tendance de l’enfantillage chanté et s’appuie sur une bande son au moins aussi intéressante que le film en lui-même.»
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TAGADA JONES
« DESCENTE AUX ENFERS » (2011)
Coup de cœur de Christophe Lorentz
« « Descente aux enfers » se présente comme une sorte d’album-concept, plus par l’unité de ses textes que par une quelconque démarche musicale pompière, on s’en doute… À travers ses treize chansons au vitriol, le groupe présente en effet la vision d’une personne qui rejette en bloc la société (un terme qui revient dans la plupart des textes), qui choisit de se rebeller et de lutter pour ses idées, même si cela le conduit à la folie et à l’excès. »
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