D’ailleurs, le MUba a laissé son étage à Gilles Defacque, initiateur du TIQ, où il développe l’art du clown, du spectacle vivant. Ici, on entre dans la fabrique du spectacle, dans ce qui le précède, dans ses traces. Et Gilles Defacque (qui publie parallèlement un ouvrage intitulé « Parlures ») nous invite à jeter un œil sur l’enfance, son enfance derrière la porte, l’enfance toujours près d’affleurer. Tout un mur pour Marylin Monroe, un circuit horizontal pour évoquer un trajet d’écriture, des photos, des cartes postales (extraites du TPR, Traité de la Photo Ratée), des carnets. Des fenêtres qui s’ouvrent sur la ville, sur la vie.
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