Une première dans l'histoire de la Ve République, la gauche a mis la main sur le palais du Luxembourg (ce qui n’était une évidence).
Les élections sénatoriales sont un nouveau coup de semonce pour la droite.
Ce dimanche l’enjeu pour certains était de faire basculer la Haute Assemblée, mais à part quelques utopistes, beaucoup pensait que c’était impossible, même si la gauche progressait à chaque élection au sein de Sénat.
Le sénateur Jean-Pierre Bel, président du groupe PS, devrait être le candidat au perchoir, peut être en concurrence, au moins dans les transactions internes du PS, avec Catherine Tresca en succession de Gérard Larcher qui veut se représenter
La gauche peut se dire, si elle ne fait pas de bêtise, que la prochaine fois sera peut être la bonne … pour la présidentielle.
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