En lieux et places, de l’euphorie, la félicité, le contentement et le désir de jouissance extatique, des uns et autres, à l’égard d’un pouvoir, acquis, par une onction diversement, qualifiée à la fois, d’avenante à l’évolution politique des oppositions de principes, d’imaginaire, issue d’une contrainte à tout point de vue, et institué (le pouvoir) en référence, à un ordre longtemps, demeuré encré, dans la primeur à une aspiration inestimable, incommensurable, et vouée à transcender toutes les contraintes et obstacles et quoi que cette frange, soit sublimée au point de céder, sur toute la ligne, du socle fondateur des idéaux qui nous ont permis, d’amoindrir les dérives éparses des différents régimes, ayant présidés aux destinées du peuple de Guinée, circonscrire ces règnes, soient par des actions sporadiques de soulèvements populaires, soient par des actes d’infléchissement des directives et politiques gouvernementales, impropres à générer ipso facto, l’idéal collectif de progrès, de prospérité et de développement, il me restera infiniment gravé dans la cervelle; aussi longtemps que la primeur des actes à observer pour doter la Guinée d’une plate forme de gestion conséquente et à la hauteur des objectifs de développement, nous dictera la saisine des règles primo définies comme incontournables, et aussi édifiante que pourraient me paraître, la jonction et l’édification, des procédés sans lesquels, se prémunir, contre les errements du futur et ses élucubrations seront une vanité; que le recours à une méthodologie opérationnelle et pragmatique, nous feront accéder à un postulat de résolution, des difficultés et baliseront, pour autant que le sens se joint à l’action, l’élucidation de la problématique du développement, débarrassée, des immixtions sur le terrain des divergences stériles et l’alliance naturelle qui nous la rattache, à coup de buttoir et à défaut de solutions, à la fatalité.
Ainsi, en repassant au crible, les différents postulats qui se dessinent sur le terrain politique, les oppositions nourries et la discorde élaguée de son mobile, on en reviendrait sans encombres, ni prise à partie, encore moins, des injonctions à but détournées, à revoir le discours du Pr Alpha Condé, prononcé le 23 septembre 2011, devant l’assemblée générale et un parterre de dirigeants politiques, d’hommes politiques, de diplomates des Nations-Unies, y compris tous ceux de près ou de loin, se voient impliqué dans et concerné par la recherche des solutions au processus de développement, sans oublier, l’illustration parfaite de ses pendants naturels, au sein d’une institution à dimension planétaire.
Partant, le discours, prononcé, quoi qu’obéissant à une tradition, aux origines mal élucidées, quand on veut privilégier, le symbole qui s’y accole, au détriment, d’un vouloir, ressuscité de marquer une rupture, telle qu’exprimée à travers la volonté de changement, nous aura permis, celui de Alpha Condé, d’en savoir un peu plus, sur les déterminations actuelles du nouveau PRG, articulées autour de sa vision politique, en ses grandes lignes.
Pour ainsi établir un rapport aussi étroit qu’ils nous auraient donné d’en déceler, entre ces déterminations et les grandes idées qui la caractérisent, je me suis donné pour devoir, concomitamment, aux confrontations politiques en vue, les diverses prises de position et le postulat actuel, sous lequel le pouvoir se présente à Conakry.
Reprenant un inventaire des actions menaient de front par son gouvernement, à l’égard de tous les secteurs, pour éradiquer la pauvreté, combattre la corruption et les détournements de deniers publics, respecter les libertés fondamentales et les droits de l’homme, bien que ne devant nullement figurer, à l’agenda de son gouvernement en attendant les élections législatives qui sont un passage obligé, pour celui qui se soucient d’une gestion consensuelle et paramétrée des différents secteurs, il fait étalage d’une docilité et d’un esprit de consensus, qui sont de loins, observés sur le terrain, comme en témoignent les tractations actuelles pour l’organisation des élections législatives, contrairement à son exposé, des actions menées jusque là, je cite:
« Des stratégies et politiques dynamiques sont élaborées et appliquées pour l’amélioration des conditions de vie des populations.
Au nombre des réformes engagées le gouvernement accorde une place de choix à l’agriculture, en vue de parvenir à l’autosuffisance alimentaire.
De même, le secteur minier est en voie d’être assaini, à travers l’adoption d’un nouveau Code plus attractif, qui prend en compte les intérêts de la Guinée et de ses partenaires.
Dans cette dynamique de changement, des actions se poursuivent pour la modernisation et la restructuration du système judiciaire, afin de garantir la promotion et la protection des droits et libertés des citoyens, de créer un cadre incitatif pour les investissements.
Sur le plan financier, la réforme permettra de juguler l’inflation, d’empêcher les détournements de deniers publics, d’éviter l’utilisation de la planche à billets, de combattre la mal gouvernance, l’impunité et la corruption.
Des mesures rigoureuses de gestion tels que l’unicité de caisse de l’Etat, le renforcement du contrôle économique, la refonte de l’administration, ainsi que la réalisation d’audits, arrêteront la saignée financière et corrigeront les dysfonctionnements.
Outre les mesures d’amélioration de la gestion macroéconomique et les réformes structurelles dont je viens de faire état, le gouvernement a élaboré des stratégies de réduction de la pauvreté pour satisfaire les besoins fondamentaux des populations en matière de création de revenus et d’accès aux services sociaux de base, notamment l’approvisionnement en eau potable et en énergie ».
à suivre…