Bilan de lecture : durant les trois dernières semaines, j'ai feuilleté et lu, parfois survolé, parfois relu les articles de tant de magazines féminins en français, et quelque-uns en anglais. J'ai déchiré, et scanné certaines pages pour leurs contenus, d'autres pour mémoriser de belles publicités et surtout pour conserver les plus belles images de mode.
Près de 50 cm de hauteur, pour un poids d'environ 12 kg, le poids de centaines de pages de publicité.
Car c'est la période de rentrée donc des numéros spéciaux sur la mode, puis deux semaines plus tard sur les accessoires.
Ainsi j'ai épluché en profondeur les "Spécial Mode" de ELLE, VOGUE, L'OFFICIEL, MARIE-CLAIRE, Madame FIGARO, GLAMOUR et GRAZIA, ainsi que les "Spécial Accessoires" des mêmes titres, tout en ajoutant BE, FEMITUDE, COSMOPOLITAN, BIBA, JALOUSE, STYLE PAPERS, MISS EBENE, L'EXPRESS Styles, MARIE-FRANCE, NUMERO, QUESTIONS de FEMMES, ECLECTIQUE, AMINA et un oeil dans VOTRE BEAUTE (oui chez ma coiffeuse).
Comme je ne voulais pas toujours resté dans le cadre du magazine féminin, pur et mode, j'ai confirmé mon statut de lecteur assidu pour CAUSETTE.
Soutenant au passage, et je vous encourage à la faire, le magazine en ligne, et peut-être en kiosque , du moins en papier, encouragez PAULETTE magazine.
Et j'ai gardé ma lecture "macaron préféré" avec mon subtil FEMME MAJUSCULE.
(Le magazine pour lequel je voudrais travailler, une question de feeling, d'univers.)
Je les remercie pour l'inspiration, pour les réflexions face à certains sujets féminins, pour l'ouverture sur un monde aseptisé et dominé par les grandes marques. Mais heureusement, ils se glissent des journalistes, femmes et hommes, pour oser défier les lobbys qui formatent nos envies. J'aime les deux faces de ce jeu complexe, la liberté de votre mode, les tendances sculptées par les services marketing pour une saison, au travers de dizaines de sacs, de robes et de jupes, de photos de pantalons et de gilets, de chaussures entre ballerines et bottines, et tant d'autres accessoires, dont les bas et collants indispensables à une belle mode. Tout en deux dimensions !
Nonchalamment j'ouvre aussi les yeux, pour rester le contemplatif complet qui va vers la rue, qui regarde autour de lui sur le parking de l'école, dans les grandes surfaces entre deux courses, chez le pharmacien ou dans le hall de mon ostéopathe, et bien évidemment dans les kilomètres de bureaux, d'esplanades et de trottoirs . Votre mode est dans la rue, elle devient vivante en trois dimensions, elle est VOUS.
Merci à vous mesdames et mesdemoiselles !
Du magazine à la rue,
la mode court après vous.
Météo ensoleillée,
alors foncez chez le marchand de journaux,
lecture en terrasse, avec un café,
en attendant les copines.
(dédicace pour une fidèle lectrice)
Nylonement