Alors que les "Salons d'Automne" battent le pavé de la ville pour ce weekend festif et populaire des 23 - 26 septembre 2011.
Ainsi, après que la "Chambre régionale des comptes de Haute-Normandie" et remis son rapport positif, et dans un sens, si je puis dire, es blanchie le maire de Bernay des accusations (fondées ou non) de l'opposition sur le fait que celui-ci menée la ville à la ruine depuis 20ans (1).
Voilà qu'une nouvelle affaire éclate sur les finances de certaines villes de France dont Bernay.
Cette affaire qui secoue la France d'en bas s'appelle "L'affaire des emprunts toxiques".
Là, il et signifiais que les municipalités qui sont, si je puis dire encore une fois, atteintes de cette "Toxicité" peuvent celons certains critères courir à leurs pertes.
Alors, certains parlent de "Ruines" de "Faillite", alors que l'ont dis qu'une commune, une municipalité ne peut pas subir de "Faillite" en tant que telle.
Hélas, quelque par cela tombe mal pour la ville, car Bernay et touché par ce problème épineux (voir les deux illustrations carte et détails) (2).
Je me pose la question suivante :
Par quelles pirouettes habiles Mr le maire va-t-il réussir à s'en sortir ?
Mais pour mieux, du moins, tenté de mieux comprendre cette affaire, peut-être disais-je devrions nous savoir en quelques lignes à quoi correspond se termes d'emprunts toxiques.
Le journal "Libération" (3) lève alors un lièvre en signalent que cela soit tout de même étonnant que des villes de moyennes et grandes envergures ne soit pas tenues comme les PMI - PME de rendre des comptes clairs et transparents à la population qui plus ais à l'état lui-même ?
Soit, mais j'aimerais savoir moi concrètement combien sur 100 personnes ici à Bernay, oui, si nous prenions 100 personnes aux hasards, dans la rue, combien seraient alors capable de comprendre tous les rouages d'un tel dossier (pas moi en tous les cas) ?
Déjà, pour remplir nos fiches d'impôts et/ou faire de la comptabilité ne serait-ce que familial cela est assez ardue alors bon là ça dépasse l'entendement (rire).
Donc, c'est "Emprunts toxiques" veules dires quoi ?
Est bien "Les emprunts structurés sont dits toxiques parce qu’ils reposent sur des taux d’intérêt variables indexés sur des valeurs extrêmement volatiles comme les variations de change. Les premières années, le remboursement est très faible (parfois 0 %) avant d’évoluer en fonction des valeurs variables comme le yen, le franc suisse, le dollar ou encore le baril de pétrole, voire les fameux subprimes". (4).
Nous sommes ici en plein boursicotage gros jeux d'argents, entre CAC40 et consorts d’où la crainte de s'est 5500 pauvres villages, villes, communes, régions et départements qui ont foncé alors sur ce genre d'emprunts qui devais leurs sembler une aubaine pour l'évolution de leurs développements économiques.
Alors, concrètement, qu'elles sont les risques pour la ville de Bernay ?
1 - Va t'ont devoir mettre la main aux portes monnaies pour éponger cette dette ouverte en 2008 et qui nous tiens jusqu'en 2028 ?
Eh oui, j'avoue personnellement que la date de fin de cet emprunt toxique fait quelques peut peur non.
2 - Alors, la ville n'avait-elle pas senti les risques possibles ?
3 - Nous au cœur de la population Bernayenne nous en sommes-nous rendus compte ?
4 - Cela a t-il atteint à notre façon de vivre au quotidien ?
Je ne crois pas.
Ici (rire), seuls les spéculateurs et initiateurs locaux au sein de la mairie peuvent avoir à l'heure d'aujourd'hui quelques sueurs froides bien légitimes.
Car si la population venait à leurs demander des comptes hé oui pourquoi pas c'est de notre droit le plus strict, sur pourquoi cette dette et pourquoi avoir choisi ce style "D'emprunts toxique", qui, si j'ai bien compris, a permis à la banque prêteuse de se servir grassement sur le seul taux de remboursement ayant un surcout de 13,25%.
Alors à quoi a pu servir l'argent de cet emprunt ?
Aux constructions, rénovations, investissement immobiliers, ou je ne sais, moi (rire), mais diront-ils comme d'une excuse "Toujours pour le bien public", etc.
Alors qu'elles sont les solutions de retournement auquel peut prétendre le maire contre ce flop financier que Bernay doit, essuie de plein fouet ?
Il a alors deux solutions solution éventuelles :
1 - Se porter aux cotées de ses collègues plaignent en justice tentent ainsi de contraindre cette banque à effacer la dette (ce qui est peu probable vu les sommes).
2 - Soit il augmente les impôts locaux (qu'il s'enorgueillit de ne pas avoir fait depuis huit).
3 - Soit enfin il revoit à la baisse son calendrier de réhabilitation de la ville pour éteindre plus vite la chandelle.
Et je trouve malgré la conjoncture cette phrase qu'un président de conseil général à lâcher “Un emprunt toxique, c’est un collège de moins” tout ici est dit.
Enfin, le maire (avec moi du moins) ne donne pour le moment quasiment aucun détail sur cette affaire dans la quel il semble bien empêtrer.
Oui, pour le moment, aucun détail de tout cela n'est donné, expliquer, analyser à l'heure même où j'ai écrit cet article.
Mais il est évident ici que l'argument de base de tous les services confondus de la mairie sera le suivant :
"Cet emprunt fut fait pour le bien de la communauté et pour la pérennisation de la ville "etc., etc.
Alors, dès que le Sénateur - Maire de Bernay aura bien voulu avec sympathie répondre aux trois questions que je lui et posée sur sa page "Face Book" j'apporterais alors en complément d'information à la suite de cet article sont points de vue et ses réponses.
(1) "Rapport d'observation définitive sur la gestion de la commune de Bernay" publiait en 2010.
(2) Crée et publiait par le journal "Libération en date du21-09-2011 (sur leur site internet et repris par la plupart des médias en France.
(3) Idem petit (2) puis suite à un article d'après l'"AFP" et enfin suite à la lecture de l'article sous la plume de Nicolas Coris sur son blog "Les cordons de la bourse" en date du 23-09-2011.
(4) Extrait d'un article lu dans le "Dauphiné.com" signé par la rédaction en date du 22-09-2011.
Photographie : "Extrait de la carte des collectivités touchées par les emprunts toxiques" crée par le journal "Libération" en date du 21-09-2011 / photo de la banque "Dexia" AFP 09-11™®© enfin, le montage final et du citadin septembre 2011®©.