Le Parti Socialiste au niveau national est clair dans ses décisions de demander à ses membres élus de démissionner lorsdqu'ils se trouvent en examen!
Positionnement sage et légitime que nous acceptons tout naturellement.
Sur l'exemple récent val de marnais le retrait de la candidature de la tête de liste était dans le droit fil tissé par Solférino. La démission ensuite annoncée en bureau municipal de l'Haÿ-les-roses le 15 septembre est dans également dans la continuité de la ligne morale définie par nos instances suprêmes de direction et l'accord local scellé entre le maire et les 3 groupes majoritaires se doit d'être respecté.
En rien d'ailleurs une instance fédérale ne peut "accompagner le processus de succession" tel que cela a pu être avec précipitation et maladresse annoncé... Les conseils municipaux sont souverains et surtout les conditions politiques locales sont ajustées à des configurations dont les élus et les militants du terrain sont légitimement les mieux placés pour assurer les cohérences.
Il suffit de ces "hold-up" d'un autre temps qui nous apportent déconsidération des français et nous présentent comme manoeuvriers de l'ombre au détriment du rapport citoyen. S'il s'agit de protéger un intérêt général qui dépasse naturellement les clivages et horizons locaux - position tout à fait acceptable car l'instance fédérale dispose d'outils politiques plus affinés d'appréciation - le dialogue pédagogique est préférable à l'oukase arbirtraire. La décision locale de l'Haÿ-les-roses doit être respectée. Le nouveau premier secrétaire fédéral, à 'issue des sénatoriales, devra s'y engager.