Pour peu ou proue, que j’élague l’étendard des soubresauts, les dispensent de la vertu domptrice de toute docilité, me ressasse la matière grise avec un de ses innombrables, préceptes politiques, creux et vestiges, de l’approche à dimension Africaine, de la déconvenue, les divergences conceptuelles et les incertitudes binaires des lendemains alliés à une conception corporatiste trop vénale, je ne parviens point, à me dissocier, du calque des injonctions, ayant fait entériner, galvaniser, et germer, l’idéal de scrutation collective des dérives, jusque là, entrevues, comme, le socle de la mauvaise gouvernance, et de l’impodérance des procédés, gisant du fait, sous le poids indétectable des affres, d’une opposition de forme, faisant à gré et à souhait, essuyer, un effroyable et larmoyant, effritement au fond du problème, quoi que (ce fond) s’articulant, autour des mêmes aspects et s’offrant aux mêmes panels de critiques et par delà, cet aspect, concomitant, d’une adhésion commune aux mêmes idéaux, à la même cause et au même combat, rien en l’état actuel de l’évolution politique et des prises de positions; encore moins, remontant, le passé si proche, si vivant et vivace, si prégnant qu’il fut, si impacté par l’élongation des oppositions antérieures stériles, voir stéréotypées, et dont les séquelles (oppositions), ornent encore l’esprit des vivants et des illustres témoins, du combat mené, au cours de la dernière droite d’une conquête (les élections libres et démocratiques) unanimement auscultée comme celle de toutes les vertus, un combat pouvant être dénommé, comme, celui de la grandeur d’esprit retrouvée, reprise et refaite, sur la base d’une concurrence, établie selon, les seules règles, de la préséance et de la bienséance, sur fond de compétence et de légitimité; ne nous poussent à céder à la tentation d’une jonction supposée altruiste, mais non illustratrice, des quelques possibles et rares points de convergences, au regard de l’observance de la marge de résolution escomptée, et du postulat originel décliné en avant goût de l’entame, par chaque frange, labellisée, sous le sceau de la primeur, d’une mutation aussi bien qualitative, que quantitative, des agrégats sociaux, politiques et économiques.
Eh bien, en cela, rien ne me paraît souscrire, à la stimulation, comme sources, de la réticence maugrée, en hymne à la raison, y compris les apartés fait d’élucidations néfastes, à l’entente et à la cohésion sociale, tout au plus, un code de conduite, une approche, une méthodologie, et un engagement à n’altérer sous aucun prétexte, ne serait ce qu’extra technique, n’obéissant à aucune forme de reniement, à la logique pérenne de circonscription des aléas qui se font jours à l’image du script de toute gestion collective, d’une onction suffisamment et prétendument actée comme une présomption présumée pour les errements du futur, revue à l’image du chaos et des désertions doctrinales du passé, la stagnation, du présent, le dédale, le manque d’élucubrations quand il faut surseoir le gouffre abyssal, et inonder les cris sociaux de désespoir, de déshérence, de frasques onomatopées, et enfin qu’attendre ou solliciter, du futur,devenant de surcroît, hypothéqué et imbibé, de ce fait, des procédés dérisoires, malfaisant, malencontreux, contraignant, des régimes s’étant succédés au perchoir et ayant réussi à accumuler et endosser, l’exégèse des responsabilités, dis-je toutes les responsabilités, revues et réappropriées, en débitant, l’arc des convenances et celui des confiances, en soudoyant l’ardeur populaire et en fringant de pétulance, le vouloir submergé des démons de la discorde.
Ceci étant, bien que les critiques qui fusent sur le toile, soient de natures à relever de passage, les marges in conséquentes du nouveau pouvoir à Conakry, de sorte à baliser son règne, pourquoi pas tenter, de le cerner soient au mieux, soient au dépourvu, il me revient, dans ce tollé dispatché, une conviction encrée et enracinée dans le creux de mes prises de positions et s’y adjoint, avec la seule et redoutable arme, dont l’origine explique, on ne peut mieux, ses pendants naturels actuels.
Ainsi, face aux injonctions, c’est à dire, celles de ceux de nos jours, voulant dissiper dans une fonction éparse, les obstacles qu’ils ont contribué à dresser résolument, obstinément avec une détermination farouche à occulter une approche consensuelle et qui cherchent à forger, inéluctablement, bon gré, malgré, leurs revendications dans le moule vindicatif, je me refais une marge non moins, conséquente, vue qu’elle cherche à nous renvoyer dans les primats des disjonctions, mais largement à la portée de la donne préexistante et dominante, de la plate forme actuelle d’infléchissement des directives d’un régime, phagocyté de travers par ses approches et travesti par l’élan qu’il s’est imprimé, rien que pour s’emparer d’un pouvoir, arraché de l’urne, avec amalgame, stupeur et torpeur, au point, qu’on a failli, assister in extremis, si les révélations s’avèrent vraies, à un assassinat politique, dont les dessous sont à la fois, enfouis et entourés du fameux secret de polichinelle des dernières élections présidentielles Guinéennes, dites transparentes et démocratiques.
Partant, moins un refus du ou une désertion à l’égard du champ d’expression du mérite, mais disons, plus l’impact d’un idéal inaltérable, de par sa fonction de redorer le blason, celle coercitive, d’innovation, de régulation, de renouveau et de moralisation, le nouveau régime de Conakry, attire par exemple, par sa propension à augmenter le budget de la présidence, rien que celui alloué à la caisse noire, c’est à dire, les dépenses privées du PRG, à hauteur de plus de 75%, alors chiffré à une dizaine de milliards du GNF, à l’heure où l’austérité, la discipline et la rigueur budgétaires sont de mises.
Pire, il paraît que le RPG se servirait des fonds de l’état, pour faire campagne, en les distribuant aux militants pour augurer faste et plénitude, à chaque déplacement de l’actuel président,(lire l’article, de Alkhaly Daffé sur Guinée58 concernant le voyage du PRG aux USA).
Outre, que ce fait, soit récurrent dans le paysage politique Guinéen, comme en font fois, les avantages, accordés au PUP, au temps de Conté, il ne saurait demeurer, un tabou pour les contemporains, encore moins, pour les politiques et l’élite de façon générale, de se voir, tôt ou tard, rappeler à l’ordre, et à la justification des financements de leurs partis politiques, de sorte à élucider les financements occultes, sinon justifier tout simplement, la gestion des comptes publics!!!
N’est ce pas un nouvel truc à tract
Korro, à présent le tract, c’est moi, et rien, ni personne, ne me fera diverger de mon objectif. N’ayez aucun doute là-dessus!!!
à suivre