Lexington, dimanche 3h du matin. La nuit et la fraîcheur sont tombés sur la ville. Tout est calme. Un léger vent souffle dans les feuilles du vieil arbre et les cigales chantonnent. Mais alors que tout les habitants du bâtiment D dorment paisiblement, un bruit strident brise ce silence réparateur. L’alarme à incendie vient de se déclencher.
D’autres automates sont là, à moitié endormis, attendant de comprendre ce qui se passe. Au coin du bâtiment, des gyrophares éblouissent. La police est là, mais on attend. Puis, une corne résonne dans la rue. Les renforts arrivent. Trois camions ouvrent leurs portent pour laisser s’échapper les hommes du feu. Les combinaisons jaunes pénètrent dans le bâtiment. On attend. Mais pas très longtemps. Les héros ressortent et repartent. Tout danger semble écarter.
La curiosité n’aura pas eu le temps de demander plus de détails. Le sommeil aura eu raison d’elle.