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15 jours c'est court et s'est long à la fois pour l'avenir de "BRP" Bernay...

Par Unevillemaville2
15 jours.
Oui, c'est en 15 jours que le sort de l'entreprise "BRP" ex YSL" de Bernay va voir son avenir se décider.
Rappelons-nous qu'aux 15 septembre dernier première date butoir il n'y avait alors encore aucuns repreneurs qui s'était montré intéresser.
Malgré ce qu'avait prétendu le maire H. Maurey dans le sens qu'il y aurait dit-il "Des candidats qui se seraient montrés intéressés" (1), qu'en est-il à l'heure d'aujourd'hui ?
Quand est-il aussi de ce rendez-vous demander par trois salariées de l'entreprise auprès de lui ? (2).
Et à ma question sur "FB" :
"Pouvez-vous Mr vous prononcé sur le sort de "BRP" svp ?".
Celui-ci me répond :
"Nous espérons une reprise de BRP par une autre entreprise".
Je lui demande alors "Si vous dites cela s'est qu’éventuellement il y aurait un point qui aurait évolué" et lui de rajouter, toujours par apport à notre conversation sur "FB", qu'il "N'est pas possible d'en dire plus à ce stade. Désolé." (3).
Voilà où nous en sommes en ce 20-09-11.
Donc, rien ne filtre.
Tant que cela est entre les mains de la justice, ce que je comprends.
Mais le maire (premier homme de la ville) se devrais je crois, de clarifié ou de tenter du moins de rassurer déjà les derniers employés puis la population en générale sur la finalité hélas bien sombre de cette histoire.
Car tous ont l'air de s'accorder à dires que les soucis que traverse cette société (qui est en redressement judiciaire depuis le 25 novembre 2010) ne seraient pas dus à des difficultés financières, mais belles et bien à des difficultés d'ordres sociaux.
Affaire alors déboutée le 14 décembre 2010 qui et qui a contraint "YSL" - "PPR" à indemniser près de 48 salariées sur les 146 qui avais alors était hélas licenciées.
Juste retour d'une lutte, revendication légitime est acharné lancé en décembre 2008.
Alors, on s'en doute ce dossier et compliquer et ce n'est pas le président du tribunal de commerce de Bernay qui diras le contraire, mais bon.
Donc mauvais jeux dits-ont sur le moral des employées qui ont semble-t-il était pousser malignement par le patronat à faire que certaines employées partent "Volontairement" et/ou aurait était "convaincue convaincus par des méthodes de persuasion condamnables" celons certaines salariées et le conseil (4).
D'ailleurs une représentante de la "CFDT" et de la "CGT" s'accorde à dire que "LA direction cherche à couler le site", pour développer plus loin comme suit "La volonté avérée du groupe "BRP - Cervin" est de s'inscrire dans une logique effrénée de réduction des coûts" pour enfin dénoncée et condamnés je cite "Une dégradation des conditions de travail et du climat social de l'entreprise" (5)..
L'entreprise "BRP" - "Cervin" par le biais de son patronnât signifie qu'il souhaite que soit fait (dans les grandes lignes) "Une procédure de recherche de repreneur ou de partenaire pour assurer la pérennité du site" (6) voilà qui devrais rassurer la population et les pauvres employées qui sur ce cout la sont "Spoliés, endormies avec des mensonges" comme dirais dame "Arlette" (rire).
(1) "L'Éveil normand" du 07-09-11 sous la plume de TG-BN.
(2) Idem petit (1).
(3) Extrait de la conversation entre le maire de Bernay Mr Maurey et moi-même sur ma page "Face Book" en date du 20 septembre 2011 vers 19h45.
(4) D'après l'article "L’ex-YSL Beauté à Bernay : sursis pour trouver une solution..." publiait sur le site "L'usine nouvelle" sous la plume de Patrick Bottois (le 19-09-11).
(5) Idem petit (3).
(6) M. Vallée (CFDT) et C. Guimard (CGT) extraient du journal l'Éveil du 07-09-11 cités en petit (1).
Photographie : entrée des livreurs cotée rue des Canadiens et entrée des bureaux cotée route de Broglie" par le citadin septembre 2011®©.

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