C'est la NASA qui l'annonce, un satellite d'étude de l'atmosphère usagé et plus utilisé depuis 2005 doit retomber sur terre, normalement vendredi : "Pendant la descente du véhicule, la
plupart des matériaux sont consumés par l'échauffement qui se produit, mais certains, comme l'acier ou le titane, résistent", explique Fernand Alby, du Centre national d'études
spéciales.
Environ 500 kilos de débris du satellite UARS s'écraseront à la surface de notre planète ... même si la probabilité qu'un des débris fasse une victime humaine est estimée à 1 pour 3 200, Martine
Aubry semble s'inquiète ...
Source : lePoint.fr