Comme nous n’en parlons pas assez en ce moment et bien nous aussi on va faire un article posthume. Nananère ! Scoop à J+1 semaine : DJ Mehdi est mort.
C’est une perte nationale car comme l’a affirmé Jeannette Bougrab, secrétaire d’état, il « incarnait le rêve à la française ». WTF, on me dit dans l’oreillette que c’est une phrase tiroir. Go to hell politique française. Je rêve que, un jour, on arrêtera de se calquer sur les Etats Unis. C’est en tout cas une perte irremplaçable pour sa famille, ses proches et tous ceux qui le fréquentaient, nous n’en doutons pas, c’est toujours difficile de perdre quelqu’un. Mais voilà, la presse ne cesse de relayer l’info. Mort d’une mezzanine, d’un toit, ou de rire, voilà qui est peu important. Les titres posthumes fleurissent sur la toile, les derniers hommages sont rendus partout et même nos éminents politiciens s’y sont attelés.
La peoplisation DJ Mehdi, de son vrai nom Mehdi Favéris-Essadi né le 20 janvier 1977, a commencé, merci presse et industrie musicale. C’est bien qu’on ne l’oublie pas mais n’allons pas le transformer en martyre des mezzanines.
Il doit rester ce musicien visionnaire qui a fait vibrer nos tympans et balancer rythmiquement (ou pas) nos membres sur les pistes du Social et autres Points FMR.