Les combattants-patriotes congolais s’étaient donnés rendez-vous à Paris devant l’association SOS Racisme. Ils voulaient par cette acte manifester leur mécontentement suite au propos tenu par le président de l’association, Mr Dominique Sopo.
Les faits:
Dans un communiqué relatif aux agressions qu’auraient subi des rwandais à Paris lors de la venu de Paul Kagame. Mr Sopo avait par ce document témoigné son soutient « au peuple rwandais, qui sort à peine d’un génocide » et « l’association sos racisme se réservait le droit de se porter parti civil » contre toute personne qui violanterai les résident rwandais en France.
Un combat totalement noble. Mais, le mal arrive quand il dénonce les congolais comme étant les agresseurs. »Les attaques perpétues par des groupes, vraisemblablement issus de RDC, ont ciblé des individus isolés, qui ont été insultés, agressés et tabassés dans les transports en commun ou encore dans la rue. »
Il en remet une couche sur des appels aux viols que lancerait les congolais contre les femmes rwandaises.
« SOS Racisme s’inquiète également du déferlement de haine constatée sur la toile à l’encontre des rwandais, allant jusqu’à appeler au viol des femmes au Rwanda. »
Pour Dominique Sopo : « il est de la responsabilité de la justice de faire toute la lumière sur ces agressions dont on ne peut ignorer la violence spécifique lorsqu’elle concerne des personnes identifiées comme rescapées d’un génocide . Si le caractère raciste de ces attaques se révélait avéré, SOS Racisme se réserve le droit de se porter partie civile auprès des victimes ».
Les congolais de la diaspora avait tenu à le rencontrer et échanger avec lui sur les violences rwandaises faites aux populations à l’est du Congo dont l’association n’a jamais fait échos.