Et qu'on ne me parle pas, après cela, du travail, je veux dire de la valeur morale du travail. Je suis contraint d'accepter l'idée du travail comme nécessité matérielle, à cet égard je suis on ne peut plus favorable à sa meilleure, à sa plus juste répartition. Que les sinistres obligations de la vie me l'imposent, soit, qu'on me demande d'y croire, de révérer le mien ou celui des autres, jamais. Je préfère, encore une fois, marcher dans la nuit à me croire celui qui marche dans le jour. Rien ne sert d'être vivant, le temps qu'on travaille. L'événement dont chacun est en droit d'attendre la révélation du sens de sa propre vie, cet événement que peut-être je n'ai pas encore trouvé mais sur la voie duquel je me cherche, n'est pas au prix du travail.Complètement has been, Breton ?
Je reviens du Pays DorÄ‚Ĺ . Il y eut quelques fruits à cueillir...
Quand on fait de la route, on essaie d'écouter la radio. Je dis bien, "on essaie". France Inter a adopté la grille d'été et dans le créneau horaire de feu l'émission de Frédéric Bonnaud, il y a Pénélope point com. On reprochait à la première d'être trop élitiste, il faut l'avouer, sur cette nouvelle émission, ils ont redressé la barre (ou descendu la barre jugée trop haute). Lamentable de vulgarité, de non professionnalisme, indigne du service publique. Le reste est à l'avenant. Il y eut de bonnes émissions d'été les autres années qui ont disparu corps et biens pour faire la place au vide. Pour moi, fini, pour un temps, France Inter ! Un peu de France Cul (le feuilleton du Festival d'Avignon, entre autres choses...) et les bons vieux CD pour faire passer les 4 heures de route.
Quand, dans le titre, je parlais de vrac, c'est que les idées que j'enchaîne n'ont aucun lien de l'une à l'autre. Maintenant, je voudrais citer une extrait de Nadja de Breton :