Le sémillant et très brillantissime scieur de l’arrière-pays semble avoir l’ego qui regonfle ces jours.
Il se voit, dit-on, diriger depuis un bunker de Berne une armée de petits soldats des affaires étrangères. Sont là pour ça, non, ces diplomates…
Outre que l’UDC n’a rien à faire au gouvernement, et encore moins avec deux spécimens, l’idée même de confier à un tel mouvement rétrograde la conduite de la politique extérieure de la Suisse rimerait simplement avec naufrage dangereux.
Pour conduire une voiture, il faut avoir le permis.
Rime et ses disciples n’ont toujours pas réussi à l’obtenir, et c’est pas faute d’avoir essayé.
Ils en sont encore au tricycle de grand-maman.