Magazine Cinéma
Bien sûr le parallèle avec La vérité si je mens (en version féminine) est le premier qui vient à l'esprit, humour juif séfarade oblige… mais en moins drôle. La faute au manque de rythme (un comble pour un film de moins d'une heure et demie…) et à l'abus de ralentis inutiles. Cependant les personnages sont attachants et la BO, bien que (volontairement ???) hyper kitsch donne la banane.
Mention spéciale à Alexander Astier, le Roi Arthur de Kaamelott, irrésistible en beauf phallocrate et fan de foot.
Fiche technique
Comme t'y est belle
Réalisé par Lisa Azuelos
Durée : 1h25 (de bonnes idées, mais le manque de rythme réduit à néant nombre de gags…)
Note 11/20
Vu le 28/05/06