Magazine Cinéma
Qu'ils sont beaux les pingouins (surtout les bébés) et comme ils chantent et dansent bien. De film en film, l'animation numérique fait des progrès bluffants au niveau visuel. Dommage que les scénarios ne suivent pas toujours. En effet, si la morale écologiste est sympathique et la dénonciation de l'obscurantisme très bien vue, on ressort tout de même de ce film avec la tête farcie, tant la bande son est (trop) forte…
Mention spéciale à Lovelace, sorte de Raël de la banquise portant un reste de pack de bière comme collier porte-bonheur.
Fiche technique
Happy feet
Réalisé par George Miller
Durée : 1h27
Note 12/20 (un peu long… voire un peu vain)
Vu le 10/12/06