Bien que le temps qui s’écoulé depuis la tenue de l’université d’été de l’UMP les 2 et 4 septembre 2011, sur les berges de la cité phocéenne, la capitale des Bouches Du Rhônes, à savoir Marseille, puisse laisser croire, du manque d’intérêts pour une rencontre aussi fondamentale, lorsque l’on a à l’idée, de demeurer au creux du fonctionnement des différentes tendances politiques, que permettant de scruter de près, les diverses prises de positions à l’égard des questions majeures qui fondent et magnifient les orientations politiques qui se font jours, y compris les perspectives d’avenir qui se dessinent.
Ainsi, les participants ont eus accès à une large gamme de questions liées à la situation économique, de la France et constituer un panel de remodelage des réformes en vue d’y inclure, une dose de stimulus, de sorte à mieux infléchir le choix des secteurs ciblés pour la réduction du déficit public, mais pas nécessairement porteurs de la mannes recherchée, tout au plus, une multiplication des poches de dépense en plus, pour un pouvoir d’achat qui fléchit sous le poids des incertitudes des marchés financiers et des directives économiques, émises pour contrer la hausse soudaine du déficit public, auréolé du poids de la dette publique, le déficit des fonds de pension et un manque crucial de politique nihiliste, des effets pervers résultant de l’expérimentation des premières mesures coercitives afin d’allier les habitudes et les comportements aux nouvelles donnes économiques.
Par ailleurs, la consommation, la compétitivité des entreprises et le pouvoir d’achat des modestes, ne seraient pas inaperçus pour l’ancien locataire de Matignon, qui estimera son opposition claire à l’augmentation par exemple de la TVA sur les parcs à thèmes et même si des noms comme Valérie Pécresse, somment à la souscription mordicus au plan de redressement concocté par le gouvernement, mais un plan à ne point s’en douter, impulsée par et axée une réduction drastique des dépenses de fonctionnement et l’application de la règle d’or, laquelle ne cesse de susciter débats et émois, au sein de la classe politique, de par sa propension à consolider une taxation accrue de l’effort de travail au profit des dividendes du capital, creuset des inégalités, courroie de transmission de la misère et la pauvreté, au sein d’une nation qui clame, la suprématie de son modèle social, en ayant un taux de prélèvement des cotisations sociales le plus élevé d’Europe, la confiance érodée des investisseurs, la réduction progressive du budget de l’enseignement élémentaire et secondaire par la suppression des classes et la réduction de l’effectif des enseignants, sans jamais, omettre, la réduction hypothétique du déficit public, pour le ramener au seuil de 3% du PIB, pour une prévision de croissance annuelle chiffrée à 1,75%.
Partant, quoique les efforts dans ce sens se font sentir, il demeure un point de divergence, qui nourrit les débats et laisse augurer des perspectives, non contenues, dans le plan de relance du gouvernement, qui privilégie certes la rigueur et la disciplinaires budgétaire, mais dont les choix, à l’image de ceux précédents ont toujours, fait fausser les prévisions de croissance, du fait qu’elles sont revues à la baisse à l’issue de l’année budgétaire.
Ceci étant, la théorie de l’équilibre général, qui préconise de livrer le marché à lui même, par le jeu de l’offre et de la demande, repris des néo classiques, et l’instauration d’une concurrence pure et parfaite sur le marché de Walras, jointe à une économie d’échanges ou encore l’optimum de Pareto, j’en passe, doctrines ayant fournis les agrégats conceptuels des économies modernes, ne répondent plus aux exigences de choix adéquats et judicieux, comme pourrait bien le révéler, l’incapacité des gouvernements de juguler les effets néfastes de la dernière crise en date, que connaît l’économie mondiale. Une crise entretenue par l’observance des théories néo libérales, aux pendants spéculatifs et une inertie avérée, lorsqu’il faut délocaliser le cadre habituel de gestion des crises, faire germer l’innovation et allier les postulats qui s’y accolent, à des fins de jonction des ardeurs, des approches et les critiques avenantes ..